Salma Hayek aide les femmes victimes de violence conjugale
associée à la Fondation de l’entreprise qui vise à aider des femmes victimes de la violence conjugale.
Avon explique par voie de communiqué que son choix s’est porté sur la vedette grâce à son charme, son exceptionnelle beauté et sa grande élégance.
Regard sur l’actrice
pour la lutte contre la violence conjugale des femmes
Ne restez pas sans regard.Merci
Patricia Cosmétique
Allez, les femmes!
Madame, Monsieur,
Je me permets, vivement, d’attirer votre attention sur la fondation de l’association loi 1901 « Féminin Singulier », son action, son réseau…
Féminin Singulier accueille et écoute toute personne en souffrance.
http://femininsingulier.monsite.orange.fr
Cordialement.
Jean-Michel LOUKA
président
Siège social: 74, rue Dunois 75013 Paris
01.42.16.85.83.
Il est dommage qu’il y ait si peu de message d’encouragements
Une panthère noire n’est pas faites pour vivre en cage
Elle aspire la vie, l’amour et la liberté
Bien cordialement
Continuez de tout coeur
Marie-Lise Ehret – psychanalyste et femme
http://www.ecrivez.org/Auteur-marie-lise+ehret.html
http://www.psy-en-mouvement.com/fiche.php?id=5126
Bonjour,
MEFIEZ-VOUS DE JEAN-MICHEL LOUKA!!
Je réagis à son annonce, qu’il a laissée partout sur le web.
Il fait du racolage sur Internet, sous couvert d’associations fantomatiques du nom de Gynepsy, FemmAlcool, Féminin singulier, etc.
Il infiltre des forums de discussion de femmes, se déclarant tour à tour spécialiste de l’endométriose, de l’alcoolisme, des troubles du comportement alimentaire, etc.
Vous pouvez trouver sur le site d’EndoFrance, la réponse que l’association d’endométriosique a dû faire, après s’être fait lourdement duper par Jean-Michel Louka. Il était question pour lui non pas d’écouter ce que les femmes souffrant de cette maladie avait à dire, mais de mettre dans leur tête que leur endométriose avait pour cause un viol ou d’autres abus sexuels subis dans l’enfance, et que si les femmes en question ne s’en souvenaient pas, eh bien , c’est qu’elle avaient refoulé le traumatisme, mais allaient le retourver grâce à la cure psychanalytique…
Dans ce qu’il a écrit, il pense qu’un nombre très important de maladies sont dues à des traumatismes sexuels: les cancers, les maladies autoimmunes tells l’arthrite rhumatoïde, la maladie de Crohn, les maladies rhumatismales en général, puis ce qu’on appelle « troubles fonctionnels », et même les maladies neurodégénératives telles l’Alzheimer, Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique, etc.
Attention: son discours n’est pas que les troubles psychiques résultant du « traumatisme psychosexuel » dans l’enfance pourrait aggraver telle maladie ou alors être un co-facteur dans son développement. Non, le viol (inceste, attouchement, autres sévices sexuels) est LA cause de ces maladies.
Il dit dans un papier que même des infections à répétition, les otites, les cystites et d’autres affections banales sont – si elles se répètent – d’origine psychique…
Il a posté partout, sur tous les forums de discussion, avant que des femmes se mobilisent et lancent une campagne pour mettre fin à cela; elles ont demandé à deux revues qui ont publié deux textes de Jean-Michel Louka, ainsi qu’aux divers sites et forums qui les ont repris ou alors où il a posté, de supprimer purement et simplement ces posts, diffamatoires pour toutes les femmes, et pas seulement pour les malades.
Pour lui, la structure des femmes est hystérique par définition, et la femme malade entre dans une relation de séduction avec son maître, qui est le médecin. Il le dit texto, se réclamant de Lacan, qui parlait de la relation de l’hystérique à son maître.
Les femmes se sentiraient tellement bien dans leur rôle de victimes et de séductrices, qu’elles ne voudraient rien entendre d’autre, et surtout pas que la cause de leurs maladies est psychique, et donc que leur santé ne sera pas améliorée par un chirurgien ou autre médecin, mais uniquement par un psychanalyste – et pas n’importe lequel, vous l’aurez deviné…
Il essaie aussi d’infiltrer des organismes du genre « SOS femmes », des hôpitaux et des structures de soins où il offre ses services gratuitement, bénévolement, pour pouvoir se prévaloir après de l’appartenance à tel service ou institution.
ainsi, un bénévolat devient « praticien attaché à l’hôpital X »…
Pour l’association Gynépsy, il l’a présentée comme une structure multidisciplinaire, avec des psychanalystes, mais aussi des médecins, des chirurgiens (incluant des chirurgiens gynécologues et oincologues)… Alors qu’il n’y a jamais eu un seul médecin par là.
Il se fait appeler « Dr. Louka » par ses adeptes, alors qu’il n’est pas médecin. Il est allé ,jusqu’à poster sur le site Gynépsy une interview imaginaire avec lui-même, dans laquelle il se présentait comme un sauveur!!
L’appel aux dons ne manquait pas non plus dans les pages du site…
Etc. Etc.
Ne vous laissez pas duper! Des personnes fragiles ayant des relations difficiles avec leur famille et cherchant désespérément une explication unique, plus simple que les origines complexes de telle maladie, peuvent être facilement convaincues qu’elles ont subi des sévices sexuels qu’elles ont oublié.
Cela s’apparente à la façon de faire des sectes, qui utilisent souvent le supposé viol/ les sévices, afin d’éloigner la personne recrutée de son entourage et la convaincre que son salut ne peut venir que du gourou.
Psychothérapie déviante, proche des méthodes sectaires…
Aux Etats-Unis, dans les années 90, on a vu une « épidémie » de « souvenirs » de viol et de sévices sexuels, remontés au cours d’une psychanalyse, où l’analyste mettait en tête des analysé(e)s que leurs problèmes venaient de là. La vague a été tellement importante, que cela a même un nom : « false memory syndrome »: le syndrome des faux souvenirs.
Il a certes été viré de l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, mais tente toujours de s’infiltrer ailleurs, en dupant les gens par un discours très lisse au départ.
Méfiez-vous!
Encore récemment, il s’est inscrit sous des faux noms/pseudos dans des forums et des groupes de discussion yahoo, avant d’être repéré à cause de son discours et parce qu’il avait contacté des femmes en privé, leur proposant ses services. bien entendu, il a contacté celles qu’il sentait particulièrement vulnérables, qui cherchaient de l’aide psychologique.
Bref, si vous entendez parler de lui, sachez que son seul et unique but est d’illustrer ses théories sur le viol / sévices sexuels comme cause d’un maximum de maladies.
Curieusement, il ne s’intéresse qu’aux femmes, et uniquement à celles qu’il peut dominer, qu’il peut amener à le voir comme un sauveur, un génie, etc…
Si vous allez sur le site « Psychothérapie vigilance » ou alors les sites de MIVILUDES – mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires – vous verrez à quel point cette façon de faire est exactement celle des sectes.
bonsoir, j’ai été sous l’emprise de ce « thérapeute », il m’a extorqué beaucoup d’argent, m’a manipuleé m’a fait intervenir sur son forum, gynepsy, association « fantôme », asistée de certaines patientes complètement sous son emprise: nadine moreau, QUI RECRUTE SUR DES FORUMS POUR LES FEMMES;
J’ai essayé d’obtenir des preuves de ce que j’avance, j’ai quelque documents, , l’empêcher de sévire……je suis prête à vous aider.
merci d’avoir créer ce blog, je me sens moins seule car cet homme m’a achevé!
**Annabelle a dit
***jecroisauxfées
vous pouvez vous mettre en rapport avec moi si vous désirez
j’ai assez raler sur les dépassements de limite de cet homme psychanalyste
effectivement
j’ai même perdu ma clientèle porte claqué au nez
etc…
*****
Madame Marie-Lise EHRET
Psychanalyste Paris le 16 décembre 2009
17, rue Baudoin
75013 PARIS
Tél. : 01. 44 .24 .37. 75
06. 73. 74. 79. 16
psy-en-mouvement.com Madame, Monsieur
choisir-son-psy.com
Bus : 27 – 83 – 67
Métro : National – Chevaleret
Météor : Tolbiac
Bonjour,
J’ai l’honneur de vous faire part de l’ouverture de mon cabinet psychanalytique ce jour,
à l’adresse ci-dessus.
Rompue professionnellement en cabinet et à l’hôpital, je suis à l’écoute de la souffrance
des enfants comme de celle des adultes, en les soutenant de ma parole singulière.
Je serai très heureuse de vous rencontrer si vous en éprouviez le besoin.
La psychanalyse pratiquée est celle de Freud et Lacan.
Bien cordialement à vous.
Madame Marie-Lise EHRET
Psychanalyste
PS :
Veuillez m’excuser si intrusion il y a eu !
Aucune liste n’est établie ni achetée.
les mails sont effacés dès leur envoi.
au gré du vent et du hasard des boites aux lettres,
comme sur le terrain, elles sont d’ailleurs identiques.
le hasard fera t-il bien ou mal ? Nul ne sait …. !
certains iront à la poubelle d’autre seront
une main tendue à quelqu’un qui en a besoin.
A chacun d’y lire et entendre ce qu’il veut y voir.
Cordialement
ML
Il n’y a pas d’Autre de l’Autre pour certains
Les deux traits unaires (petit a) représententent l’affectif, la confiance en l’autre.
Il n’y a pas de grand « S », mais que s barré dès le départ, et nous n’y pouvons rien, il faut être honnête et le dire au patient même pour ceux – là, la fonction n’existe pas.
Je ne suis pas un morceau de papier dont on se devrait d’opérer vraiment sur le corps propre les ciseaux d’Aleste trop aiguisés.
Il y a des être sur la terre qui ne se prennent pas pour des demis dieux, d’ailleurs en amérique et en europe, levi strauss
Différencie deux fins différentes de cendrillon, elle est où ma propre subjectivité, ce n’est pas le travail, elles sont où mes sublimations. Sans que je ne dois voler ? La chape de plomb de sète est là quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle….
La différence profonde déjà là dedans, je ne peux pas oublier, comment trava iller, j’ai enregistré ma mémoire pour ne pas me perdre déjà toute seule, tout le monde ne crée pas dans l’angoisse elle est indéplaçable ;
ATTENTION DANGER
De passages à l’acte, deux fois, par négation de leur symbolique et imaginaire les enfants différents
Avec des théories psychotiques et un langage autistique Freud et Lacan. Les problèmes de fonds n’ont pas été résolus mais seulement déporter et aggraver par une super intellectualisation.
ATTENTION DANGER PRATICIENS !
Avec des manipulations inconscientes, où dans les fantasmes il y a du vécu, même les psychotérapies ainsi que les psychiatres leurs liens ne sont pas là où les mettent leur moi inconscient globale.
Je refuse de prendre en analyse des personnes comme moi, en charge pour au retour de noyau inconscients trop violent et agressifs avec dénégation de vie de certaines communautés humaines.
Même si Lacan donne le désir et que je le suis psychanalyste, je me permets de le dire.
- Les athés,
-Les enfants sans origines biologiques (naturels)
-sans généalogie parentales connues
Les deux (père et mère (« s « ET « a » )
Il n’y a pas de rapport sexué. (Une voie sans issue pour certains)
On n’a pas le droit de jouer avec des vies impunément et psychologiquement.
Ils ne sont pas psychopathes pour autant, ni psychotique : je n’ai pas de A, la place du psychanalyste- psychothérapie ainsi que les psychologues sont ici impuissants et mettent en danger leurs patients smême sans le vouloir vraiment.
(La psychanalyse actuelle se doit de remédier immédiatement à ce problème, sans dettes de vie à payer, sans dons, ou pardons qu’il n’y a pas à avoir.
Ces enfants d’Orient ou autre culture sont en danger dans leur propre altérité intrinséque.
Aucune place, ne peut être tenue par personne, ni le ou la psychologue,ni le psychanalyste, ni la psychanalysyte, ne peuvent faire miroir de deux personnages vécus parentaux, et sociaux en même temps, et de plus sociaux religieux en double fonction de dénie même si ce n’est pas l’intention du psychiatre ou thérapeute.
Je remercie monsieur JML qui m’a aidé, il y a violence aussi lorsque l’on invente une mère , ou tranpose une fausse mémoire, qui se trouve avec le père placé sur une ligne imaginaires, vers deux ans en enfilant des perles (par rapport à des images ! le voilier n’étant pas d’Ulysse mais bien réalité,Madame Sz.
Car ma mémoire et très précisément daté, à trois, quatre, sept et un an, vérifiezsavec horreur !
La mémoire doit-elle se corrompre pour exercer cette profession ?
Leurs symboliques et imaginaire est ailleurs, la création en l’alter ego au traits unaires.
Tu ne tueras pas ? Mais :
Si on m’arrache le cœur, et coupe les membres à l’opposé du buste en X, je n’ai rien.
Ce n’est pas en déplaçant le problème ailleurs dans d’autres pays qu’il y aura solution.
Je sais de quoi je parle, suite à 10 années d’analyse freudienne avec une femme et 10 années d’analyses lacanienne avec un homme. Qui a bien travaillé et permis de comprendre ces agresssions, envers moi-même retournées sans arrêt mais qui ne m’appartiennent pas. Cette violence n’est pas à moi !
Mieux vaut dire à ceux-ci : vous encourrez le risque de porter atteinte à votre vie, car (ceint n’est pas Saint) d’une première et deuxième mort, et tous les problèmes de la catharsis, qui ne suivent pas, je m’explique, je parle en mon nom.
La religion classique en France, le catholicisme et de la religion triomphante dans l’Occident contemporaine à la façon dont on dira aux africains, vos ancêtres les gaulois.
La différence est à respecter, mais la théorie ici ne peut rien apporter, de barrières suffisamment sûres, mélanges et adaptation, de races, sexe ne signifiant pas amalgamer une homogènéité telles quelles soient mais respecter les différences, rendre l’autre fou jusqu’où ? Avec quels dégâts ?
Psychique et corporel à chaque fois.
Ni , Ni, Ni
Le curé de choc qui organise le « spectacle de luxe, pour la gloire de Dieu mais ne recule pas devant une tricherie pour triompher de son sacristain Satan incarne ensemble la mauvaise foi et le sens médiatique : avec ce champion d’une « on tueras tous les affreux », éperviers de maheux,annonçant la politique spectacle, d’une religion décorative,le show et l’exhibition, l’image remplace la médiation, comme à l’assemblée nationale, question, réponse, sans débat, de peur , d’horreurs, ou de création forcée dans la souffrance, renversant lamentablement l’enfant et ses subblimation vrais et juste qu’il s’était tout seul trouvé. La joie de vivre, d’être là, elle n’est pas semblant et me voici encore devant ce néant, ce vide, ce rien, ce trou ! Retrouver le chemin naturel n’est plus aussi simple ! Freud comme un electroc, médicaments après, dérèglement hormonal, sang rouge (aimant) vider, mon chat en liquidéfication, porte atteinte à ma nature aussi environnante, animaux et plante.Ces mots que je retrouve dans la bouche de tous depuis ces deux génération dont j’avais bien pris garde à non psychotiser ou autister en refusant de prendre parti, effacage d’histoire et d’histoire de mémoire si enfant je l’avais fait seul pourquoi donc me remettre en cause, c’est dire non je ne veut plus avancer dans ce merdier de société, ou même me dit –on, là sur la feuille, le RSA est versé par une association protestante européenne. Quand on donne on se tait.
Vois, Lacan quand même et le transmetteur, je résiste, la résistance à chaque travail, je dirai c’est ma colère il ne faut pas me l’enlever, c’est ma vigilance. Ma liberté d’action.
Je suis comme toi inclassable, ingérable c’est comme ça !
La refente à notre époque doit être enlevée, refente en entendant, stop on repart à zéro, il faut rechercher ou est la conscience morale ! Et le désir que biensûr « Je »ne retrouvera pas qu’est-ce que ces pertes de temps toujours, en raz de marée, ou fumé ? J’ai mérité le droit de bien vivre et je résiste.
Ne pas introduire un faux self anglais, un homme que je connaissais (psy) et en qui je disais avoir confiance en rêve mais qui me fait avaler une pierre noire avec une canne, d’oedipe n’étant pas un membre mais un objet, un pieu… arbeite. Heureusement que l’enfant qui est en moi à repérer là quelque c hose à « prendre » alors j’ai volé l’épervier à choisy sur seine (psychiatrie, pour le remettre malgré interdiction judiciaire à JML.
Au Père un connu ou inconnu et l’autre inconnue j’en fais quoi ?
Une simple boite à sardine, je sais, sauf que cette fois ça ne marche pas….et du tri trois, les racines carrés sont bien loin du centre de l’oigno Lacan , en déséquilibre sur tous les plans.
Ah ! Peau lice et police stop ! L’homme n’est pas un jeu de mots et de maux. Le morceau de chair d’osiris j’en ai assez ! C’est pour moi à chaque fois des opérations corporelles.
Dieu ainsi peu nié toute responsabilité dans la mort des innocents et l’Eglise refuser toute implication dans les drames quotidiens et terrestres des ouailles ; le cérémonçial spectaculaire rejoint le culte du veau d’or, cet or dont chacun couvre aussi La Gloire pour vendre sa honte ; mais dans le monde de l’égoïsme féroce, les êtres n’ont aucun prix et seule la matière demeure précieur or ou yeux de diamants ? de ma panthére noire, chat noir évidé, écrasé par une voiture sur la route, ça y est j’ai compris ça récemment ,en faisant la distribution dans le cinquième le motard renversé sur la route et la police autour ! Il faut que je retrouve mon crochet, ma ceinture, mon juste au corps noir sur son ceintre et le fil de tout ça, couper mon fil madame méggé c’est à chaque fois me faire taillader les veines pour des maux qui ne sont pas ma propriété.
Cinq fois en 2009 une fois, une oncologie cancéreuse presque parfaite en 2005 moins une. D’où vous viens cette morbidité…tu pouvais te révolté aussi hein lacan !
Deux comas troisième degrés, et opérations des pieds avec madame Sz, à la grâce de dieu.
Des travaux inconscients, psychologue de tout poil, et psychanalystes, vous le saviez je vous l’avait dit aux entretien préliminaire, j’ai tué le dieu que je n’avais pas, on m’en rebalance un dans ma bouteille de klein, ou pas klein ça change rien, moi je vous dis, l’inconscient trop précoce et grandir trop vite, lucidité de l’enfant avant le temps qui ne corresponde pas au trois plaies de freud, de la terre qui tournerai sur elle-même. Porter peindre ou porter peindre hein !
N’étant plus à moi, le chat vidé. (il pourrait même ici avec ce genre de bombe à retardement, hors des places classsiques psychologique humaine et sans traces.Attention aux femmes avec des enfants, hein soyons bien responsables à qui nous tendons la main !
Il a dit il y en aura d’autre hein ? J’essaie d’accrocher la folle de chat hio ! Plus tard, alors d’accord, du temps perdu pour rien, tous mes écrits disparu, j’en ai mare moi, les pères là, de toujours recommencer à zéro ! Et le pire c’est que c’était prévu et je ne m’en étais pas aperçu ! Il a fallu deux gros travaux pour que je comprenne ça ! Freud et Lacan c’est le même axe, lui me donne, ah ! Alors je vole, l’état, des fous de l’enfermement, excusez, pour acheter et payer le droit de vivre, bien, là….
A la confession catholique a succédé, nous le savons bien, cette forme moderne de religion et de purification qu’est la psychanalyse ; or le psychanalyste, le psychiatre là bas, est un type costaud, sympathique, il accouche quand il faut, un pas en avant deux en arrière, il fait les courses, s’occuàpe des petits et des animaux, un interlocuteur impliqué et comtatissant, tente de comprendre les villageois de carrière, vlan, et de s’intégrer à ce microcosme fermé, trop fermé, il incarne aussi au nom d’un symbolique, et aussi une caritature de néant qui cherche l’être, un vide invraisemblable qui parasite ses fréquentations humaines ou animales- oserai-je dire qu’il psychatnalyse ?
Alors de vos démarche médicale se réduit à des copulations sans échange moral ni sentimentale ; il s’agit seulement de « psychothérapeutiser ou psychotiser tout cela montre bien que tout ça réifié sans espoir ! Vide, voyeur, fouineur et vulgairement paillard, voué aux coïts ancillaires et plein de « sales manies ».
Le psychiatre (ils en prennent plein la tronche eux aussi de ceux qui ne veulent plus aller droit, et le psychanalyste ne sont pas flattés, il n’y a guère que vos affection « superficielle ? » des trois maux de la terre ? de qui ? c’est sans doute pour mieux justifier vos existences et remplir vos vides, impression que j’ai que vous endosser la tenue du nocher du purgatoire après l’avoir fotiser (la vieille aux fagots sur le dos en gris hein, quand on joue aux dames ou aux échecs on ne vas pas dans tous les sens (d’ailleurs ça sert à rien il manque une agraffe au huit intérieur, et moi je tombe toujours dans le trou le vrai !
Pas de cynisme là, pas de cynisme ni d’ange à avorter, pas de cynisme ni de lyrisme là voulez vous, il y a Strasbourg aux murs et route du béton armé. Déjà de plusieurs générations de suite, laminées et déjà psychosées. Je cherche mon ouverture extérieure pas au-delà, d’ici bas.
Folkoche, ou nœud de vipères au point, non point, on me là déjà faite une fois, la rédemption de Dupin du site oedipe, comme j’ai une tête de demi boche apparemment et non du Luxembourg comme il était dit, la théorie me rend dingue il m’a dit le superviseur transmetteur, vous n’avez pas compris que je ne peux même pas faire le deuil de qui que ce soit, ni prendre partie pour qui que ce soit, levi mon ami, rappelle leurs, ils n’ont pas compris ! La raison perverti la raison ici encore aujourd’hui.
Que faire ? Excuse moi lacan moi c’est pour cela que je mets deux fois plus de temps que vous tous avant de m’apercevoir, je n’ai pas d’image au miroir. Mes quatre points cardinaux, ah pour se racheter , de tous les côtés.Scepticisme envers la psychanalyse, la psychothérapie, les altérités de nos jours sont presque identique et je ne veux plus aller au turbin je suis usée.
Approche critique d’une science incertaine élevée immodérement au rang de solution absolue des problèmes humains ? Excellent sujet de satire, de comique , ma langue à ravaler à l’intérieur, ou des contines que je ne veux points, pas de mère ou femme, crocodile besoin, le maternage n’étant point obligatoire, satire du passé qui rit …attendez ! Tout cela sous-tend à l’arrache cœur et des chattes baudelairiennnes qui hurlent ça suffit, d’une antigone sans dieu, la corde est juste au milieu.
La question que je me pose : où doivent être nos valeurs ? Rencontres et rebondissements, pitié dangeureuse, qui illustre ce que l’on juge précieux, le prix des êtres, la valeur des sentiments et des doctrines ou des engagements, la puissance de la honte et du subconscient, les domaines étranges de l’amour ou de l’enfance. Ainsi donc ce qui me hante de l’herbe verte qui passe au rouge…..Elle se résoud par mon suicide gratuit et en plus je n’ai même pas la gloire orgueilleuse de l’avoir eu un jour, hein ! ET en plus c’est la forme du bouc émissaire (réalité) pour toute une communauté.
J’ai mal au crane ! Et vieille comme je suis-je mérite le repos et le bien vivre hein ! Basta ! la nature et l’enfance concentre beauté et espoir. On oppose à mon cœur un constat tout pessimiste sur le monde des hommes : n’est-il pas régi par la violence constante et ultime référence ? Innocence et cruauté, pourquoi je les ai tous retrouvé tels que mon inconscient l’avait à lui gardé, des morceaux de rêve là, par un lien rajouté, auquel je ne comprends plus rien, le chat vidé de toute substance, puis sans que vous l’ayez vraiment voulu monsieur JML, suggère une nécessité, une fatalité de la violence humaine, contre les faibles, apprentis ou veillards, au cœur de la famille, entre femme et mari,mère, père, substituts de tout poil et ebfabs- et ceux –ci jouissent à faire pleurer leur mère ou savent d’instinct planter les clous dans les jambes de leur père !
- Contre soi –même, assurément !
La société est construite sur une codification de la violence qui, collective et ritualisée, est ainsi superficiellement exorcisée ; le cercle vicieux violence/refus de la honte/transfert de culpabilité/ nouvelle violence est une organisation cathartique mais n’annule pas celle-ci ; quand la psychanalyse et psychothérapie de tout poils se limite à une égoïste férocité et quand la religion devient pugilat, le progrè social semble juste tenter de contenir une violence atavique et inéluctable. Mais n’est-ce pas qu’elle est inscrite dans le sexe même à notre nature ? Violée, pocédée pour de vraie, le corps mémoire, la mort du loup –moi était déjà là à onze ans, dans l’escalade de « l’Homme Terre » retourne toute tendance sadomasochiste contre son chat, son chien, ses plantes, le mari, les enfants ; où il est Odeascier que je lui parle deux mots de ma santé mentale, une passsion, ça ! Constat atroce de malédiction sexuelle et de violence innée et universellle. Non ! Si ! Qui l’a dit ? Je ne sais pas ! la gouaille au front triste…
L’homme ou la femme bourreau de soi –même ! Tentation ici de fuite et de démission ! Attends mon enfant essaie de garder ton calme, mes yeux se brouille à la sauce champignon de rouille dans ma ratatouille, ma vue, mon parfum, s’embue, et touille je ne m’y retrouve plus.
Les dégats rajouté sur mes perceptions consciente à fleur de peau, non ce n’est pas comique, un langage croisé deux fois, une archie trace raturée, effacé a a a a a a ? Fuite d’avec tous mes semblables un instant, cybèle, en boite, les illusions d’avant, l’art remis à zéro à chaque tournant, le patacaisse ou la brouillette ? En 74, j’arrive avec l’art la poésie, ma tambouille et je repars toujours sans rien, que le moins que le quotidien, en 2003 comment moi je vais faire pour retourner là bas ?
2005 et refente
On pourrait appeler ça de la culture par electrochoc, dérèglant tous les systèmes immunitaire de pression, d’horloge décalée, de corps écartelé encore bien qu’à chaque fois que je dis je ne veux pas y aller, je n’en ai que pour quatre ou cinq années de vie, laissez moi respirez, avec le métier que j’avais je suis foutue, je ne sais plus où je vais …. ?
L’enfant comme un paradis perdu ? L’enfant dénié !
On pourrait presque appelez cela de la torture morale, puisque je dis que ne prends jamais aucun parti et qu’a chaque fois, je dis non…je trouve un système, ou est ma morale à moi dans tout ce merdier là.
Couper le cordon quand on ne sait pas ce qu’on coupe, il faut mieux s’abstenir, prévenir et dire, dans la vraie mort je n’irais valdinguer cinq ou six fois.
Il y a bien une petite porte
Je vais rechercher ma panthère, mon symbolique et imaginaire vidé remis à zéro, pour rien.
Antigone sans aucun dieu ça donne quoi ? tais toi .
Il est bien là une morale qui ne me va pas, et en plus ces vieillards, je sais bien où il est mon symbolique et imaginaire à moi ? Non ! Je sais bien que mon propre inconscient différencie bien le masculin et le féminin dans l’inconscient, trop vite consient.
Si la freudienne il y a dix ans n’a pas voulu me croire, me croire,
Il ne faut pas toucher aux têtes des enfants, la mélancolie était à 9 ans, electrochoc, hospitalisation, médicament, fièvre, le temps de s’adapter aux médocs et retour chez re personne parce que là j’en avais vraimement marre, qu’il n’y ait jamais personne. La psychiatrie hein, la psychanalyse, où tous se marrent encore et encore aujourd’hui.
Tout ce temps, ce gaspillage alors que l’homme n’effectue qu’une évolution très lente de quelque millimètre de culture ou d’ad hoc culture ?
Géopolitique et psychanalyse ?
Psychologues, machin chose, il y a encore quelque chose que je n’ai pas compris du temps de remettre des morceaux en place dont je ne sais quoi faire.
Ma ligne imaginaire était, le symbolique au tout début ?
Il y a beaucoup de dégât dans la tête de l’enfant pour moi.
Cri, vie-mort.
Ce n’est pas moi qui suis suicidaire c’est le système même de freud sans Lacan qu’est-ce qui me reste ?
Ici se pose une question aussi avec l’épervier, prenez les livres d’enfants « le faucon déniché » le moyen âge de jean Côme Noguès…ça continue….
le petit bout de femme pas toute hein ?
je ne suis une walkirieeeeee !
Bonjour, Patricia
Mardi 24 mai 2010
Renaissance à trois heure du matin
A monsieur Jean Michel Louka
Bonjour,
Je tiens à vous remercier de vos bons soins
Je voulais faire une psychanalyse c’est fait, mais alors…. !
Leclaire a raison en ce, qu’il faut éviter un contrôle avec le psychanalyste qui a analysé,
Je vous remercie du courage que vous avez eu à affronter votre propre travail.
Je vous avoue que c’était sur ma demande, je me suis trompée, quoique je ne le regrette pas,
Ceci m’a permis de joindre les deux travaux et de les clôturer, ce qui nous a été pénible à tout les deux.
Au moins vous avez eu le courage d’affronter votre propre travail.
-Les traits unaires vont donc se reporter, sur vous en mémoire, comme avec madame Szejer.
-Je rappelle que le trait unaire correspond à toute personne ayant au moins donné l’affectif à un être au cours
De son enfance, athée ou pas.
C’est bien la seule chose de vrai, nul n’a à être infaillible ?
Je vais donc continuer mon auto analyse tenant un journal.
Faire des recherches (en proposant « a » unaire, à la place de grand A.
Grand A sur quatre (triangle : demi-carré)occident et orient quelque soit le particulier qui s’adresse à moi
Incluant une barrière (masse, corporel et Pan, la nature).
Un enfant se faisant avec x et y (une femme et mère non hystérique est nécessaire en psychanalyse
Ceci me semble assez compliqué, je cherche.
Tendre la main, écouter, entendre évitant un langage autistique ou trop délirant.
Ferenczi a raison, certains se fabrique un organe (kyste melon hein !)
-réduire la théorie Lacan au plus humain associant nature ET culture (mythe ET rites)
L’enfant ne serait-il pas « un » (être à part avant de devenir adulte.
L’imaginaire masculin et féminin n’étant pas identique (il est important de travail par groupe de deux M et F)
En tout amitié et non en guerroyant ou suspectant l’autre détenir la vérité, tous deux ont le « phallus »(l’amour )
Poésie, et consultations, peinture, art et psychanalyse en continue, non en fin.
La psychanalyse a ses limites mais en faite nous disons tous la même chose.
C’est la société qui frustre , que faire ? je ne sais pas !
Il s’est passé cette nuit ce que j’appelle renaissance, un afflux créatif, je n’ai pas dormi de la nuit,
Et chose bizarre, ma tête n’arrêtait pas d’imaginer la suite, cette nuit, contente au lever du jour,
En classant Freud et Lacan dans mes tiroirs, en gardant juste ce qui me servira. Comique ! ! !
Un genre de pièce de théâtre !
La psychanalyse et l’art en ouverture, le métier également.
Comme si j’essayais de réunir les morceaux….en poétisant
Ma recherche ira vers l’art
En creusant pour faire lien « mémoire corporelle-masse-temps)
La particularité de l’être étant d’avoir une conscience et une raison il n’est ni animal ni objet
Merci à Lacan !
Merci à vous !
PS : je remercie de tout cœur ce blog Hautefort, mis à ma disposition, je ne sais par qui !
Merci à tous, ici des poèmes suivront.
Il faut que j’apprenne à faire des copies et reprendre l’écrit sur papier avant.
Où avez où eu ces textes ?
Merci, dedans il y a une contribution à laquelle je me dois, à tous !
Peut-être que seul l’art sous quelque forme qu’il soit permet d’exorciser ces traumas
Je pense, bien que je sois pour la non prescription, que cela me ferait plus de mal que
De bien de m’adresser au procureur , c’est trop tard , je préfère aller de l’avant.
Je suis également pour la légitimité de l’enfant de connaitre ses origines.
Et qu’un registre , comme en Angleterre, regroupe tous les enfants d’une même mère
Comment savoir, pour une femme si un homme rencontré, ne serait pas un de mes demi-frères ?
Nous portons tous des noms différents.
Une loi, là aussi devrait être
Tout comme les votes « blancs », aux élections présidentielles devraient être comptabilisés, ce sont des personnes qui votent de droite ou de gauche, mais qui veulent dire ce que vous me présentez ne me convient pas.
Bonne journée à tous
amicalement
Marie-Lise EHRET
Psychanalyste .
Il est temps de nos jours que la femme ait une place entière
en psychanalyse, ce qui implique un Freud, comme l’avait si bien vu Lacan, dépassé à notre époque.
Hommes ou femmes nous sommes « différents » mais nous nous « complétons ».
Et il n’y a aucune supériorité l’un envers l’autre à avoir,
l’instinct de reproduction n’étant pas obligatoire pour une femme
Une psychanalyse de nos jours doit viser la guérison de ceux à qui nous tendons la mains.
On vit avec , le pardon je le laisse là, quoiqu’il en soit, elle vit , elle rit,elle donne et partage et la théorie de la séduction pour la femme doit être remise en bonne place, la reconnaissance de la femme , battue , violée, maltraitée , tout comme il arrive aussi parfois chez les hommes doivent-être reconnu à par égal
Pour ce Freud doit-être amputé de totem et tabou (vu différemment, et de la religion judéo-chrétienne.
La philosophie doit reprendre une place raisonnable pour tous.
la diversité de l’être humain est multiple et particulière, ellle est belle si l’on sait y regarder.
Marie-Lise EHRET
http://psychanalysepoesiepeintureart.hautetfort.com/archive/2008/09/23/psychanalyse-marie-lise-ehret-poesie.html
psychanalyse poésie peinture art
Marie-Lise EHRET
Le travail des femmes
L’arnaque des chèques emplois services
Si je comptais bien je ne pouvais m’occuper que de trois personnes ou malade en même temps, j’étais indépendante,
comme maintenant.
Les chèques emploi service posent deux gros problèmes
*Un cela permet une rémunération mal déclaré au tarif sécurité sociale, et quand vous êtes malades vous avez le droit au minima
*Deux, pour certains métiers vous multiplier le nombre de passage à des endroits différents de Paris, mais vous n’oubliez pas que vous êtes payé à l’heure effective. Le temps, pour celui qui n’a pas les moyens d’acheter une voiture vous le faites à pieds ça va plus vite.
Si bien que vous vous levez à 6 heures du matin, qu’il faut compter trois passages par jour, matin, midi et soir c’est le minima pour les malades, sans compter les alarmes hein !
Et vous rentrez à 10 heures du soir !
Généralement les transports d’une maison à une autre ne sont pas comptabiliser !
Vous êtes censés avoir travailler six heures hein mais en réalité…pour le peux que quelque chose se passe mal, qu’il faille attendre le médecin, qu’il y ait une fuite d’eau, ou je ne sais quoi !
Qui est le dindon de la farce ?
Et oui, vous aurez beaucoup plus de chance de mourir jeune !
Vous laver, soulevez les malades, leur faites les courses, monter les escaliers dans les vieux immeuble, mais ce n’est pas un métier reconnu, et vous êtes seul
Accompagnement dans les hôpitaux ect ect….
Les suivres lorsqu’ils sont hospitaliser…
Et être attentive aux pathologie, corps et âme hein !
Faire le liens avec les familles ect ect.
Tenir l’équipe en union pour le bienfait du malade.
Tous des libérales….
* pourquoi donc je ne pourrai pas finir ma vie,
dites moi donc, en me reposant un peu !
Marie-lise
J’aime beaucoup cette actrice! Et vive les Femmes!
Je vous demande de retirer les propos à caractère diffamatoire qui citent publiquement mon nom, que deux internautes, sous couvert d’anonymat, profèrent à mon endroit sur votre blog. Ces propos sont passibles de poursuite judiciaire.
J’étais venue sur ce site par distraction concernant les produits de beauté et je suis stupéfaite de voir que même dans les milieux cosmétique, la diffamation va bon train. J’ai été une patiente de M. Louka et je n’ai rien senti pour que vous lui infligier tant d’injures. S’il n’avait pas été là il y a de nombreuses années, je ne serai pas en train de vous écrire en cet instant précis. Rien n’est fondé dans ce que vous dîtes. Il m’a toujours pris un tarif très raisonnable alors que certains vont de 100 à 1000 € sans aucun scrupules. J’ai beaucoup apprécié le côté très humain que j’ai pu découvrir en cet homme, ce qui m’écoeure le plus, c’est qu’entre psychanalystes, vous n’êtes pas capable de vous entendre. La psychanalyse a-t-elle bien besoin de çà. Avec tous les déboires de ce métier ne serait-il pas plus judicieux de faire cause commune. Ca me dégoutte de diffamer une personne avec autant de talent ! Seriez-vous jalouse ???
Amendine
même avis (négatif) sur cet individu, « psychanalyste » lui ?
un bon psychanalyste n’a pas besoin de chercher de clientèle sur des forums, n’a pas besoin de créer X associations fantôme !
ce psy aurait-il un problème avec les femmes ?
« Jean-Michel LOUKA a dit:
22 juillet, 2010 à 18:00
Je vous demande de retirer les propos à caractère diffamatoire qui citent publiquement mon nom, que deux internautes, sous couvert d’anonymat, profèrent à mon endroit sur votre blog. Ces propos sont passibles de poursuite judiciaire. »
vous avez besoin de cela, poursuites judiciaires, Monsieur Louka, pour régler vos comptes avec les personnes que vous avez déstabilisées ? par votre sentiment de toute (im) puissance ?
pauvre homme… vous êtes un bien pauvre homme.
« Amendine a dit:
27 juillet, 2010 à 2:01
J’étais venue sur ce site par distraction concernant les produits de beauté et je suis stupéfaite de voir que même dans les milieux cosmétique, la diffamation va bon train. »
on n’arrive pas sur ce blog (et non pas site) par hasard, pour se distraire.
mais quel besoin avez-vous de justifier votre présence ici ?
quel curieux hasard que vous postiez juste quelques jours après le passage de Monsieur Louka qui menace de poursuites judiciaires.
aurait-il besoin de redorer son image ?
les bons psys n’ont pas besoin de se faire de la pub sur internet, et les bons psys sont débordés
à bon entendeur…
Il y a des silences
Il y a des silences de femme
Telles les kyrielles de chats,
À la Nuit de Saint-Jean.
Des silences de femmes place de mai,
Qui appellent, en vain, leurs enfants,
Lasses, de larmes acidulées et âcres,
Dépouillées, du canevas de leur chair.
Des silences, oh, femmes ef/fables !
Parce que vous êtes nées femmes,
Lynchées, excisées, violées, a côté,
Derrière, jamais à la droite du père.
Votre sensualité et désir amoindris.
Oh, femmes nubiles !
Dont le sang exaspère les religions,
Les cheveux, visage, impures et sales,
Que dissimule et camoufle en paix le châle.
Tentatrice de tous les pêchés du monde.
Si, vous êtes créatrice !
Enceintes, maléfiques jusqu’au relevailles,
Responsables de faire tourner beurre et lait.
Destinée à laisser à la moindre envie,
Une tache sur la peau de leur petit.
Oh, femmes, coupables !
Interdites de franchir la porte principale,
Lavent-elles le linge dans la rivière,
Maléfiques, en chassent le poisson.
Participant à la préparation du blé,
Funestes, elles attirent la rouille.
Oh, femmes, hors gravidité !
Blâmables par nature de ne pas créer,
Vous avez le cœur sec et austère de don.
Inévitablement, jalouses, envieuses, cupides,
De celles qui portent le fruit, tant convoitise
Telle, une maladie contagieuse ou épidémie.
Oh, femmes, meurtries !
Abandonnant leur corps, méprisables et infâmes,
Prix du pain, à céder pour sustenter leurs petits,
Félin à dents de sabre, parfois pour les protéger.
Qui en tant de guerre faites si bon office !
Oh, femmes !
Il y a des silences
Comme des silences de chats,
À la Nuit de Saint-Jean.
Marie-Lise Ehret
Il y a des silences
Il y a des silences de femme
Telles les kyrielles de chats,
À la Nuit de Saint-Jean.
Des silences de femmes place de mai,
Qui appellent, en vain, leurs enfants,
Lasses, de larmes acidulées et âcres,
Dépouillées, du canevas de leur chair.
Des silences, oh, femmes ef/fables !
Parce que vous êtes nées femmes,
Lynchées, excisées, violées, a côté,
Derrière, jamais à la droite du père.
Votre sensualité et désir amoindris.
Oh, femmes nubiles !
Dont le sang exaspère les religions,
Les cheveux, visage, impures et sales,
Que dissimule et camoufle en paix le châle.
Tentatrice de tous les pêchés du monde.
Si, vous êtes créatrice !
Enceintes, maléfiques jusqu’au relevailles,
Responsables de faire tourner beurre et lait.
Destinée à laisser à la moindre envie,
Une tache sur la peau de leur petit.
Oh, femmes, coupables !
Interdites de franchir la porte principale,
Lavent-elles le linge dans la rivière,
Maléfiques, en chassent le poisson.
Participant à la préparation du blé,
Funestes, elles attirent la rouille.
Oh, femmes, hors gravidité !
Blâmables par nature de ne pas créer,
Vous avez le cœur sec et austère de don.
Inévitablement, jalouses, envieuses, cupides,
De celles qui portent le fruit, tant convoitise
Telle, une maladie contagieuse ou épidémie.
Oh, femmes, meurtries !
Abandonnant leur corps, méprisables et infâmes,
Prix du pain, à céder pour sustenter leurs petits,
Félin à dents de sabre, parfois pour les protéger.
Qui en tant de guerre faites si bon office !
Oh, femmes !
Il y a des silences
Comme des silences de chats,
À la Nuit de Saint-Jean.
Marie-Lise Ehret
le psychachanalyste est cité dans le journal Marie-Claire d’Avril 2012.
Je suis une double victime d’un pervers sexuel avec lequel j’ai eu une relation pendant des années. À cause de lui je ne parviens pas à m’épanouir mais aussi victime de M Louka. Je souffre terriblement et depuis plusieurs années tente de me reconstruire en faisant le plus beau métier du monde : institutrice. j’espère que ces deux individus seront punis à leur façon. Je sais que mon « ex » en tant que pervers sexuel et manipulateur est déjà puni puisque sa vie a l’air assez nulle et peu passionnante (il passe de fille en fille, n’a pas de travail et perd ses amis). Quant à Mr Louka je croise les doigts pour qu’il change sa méthode. j’ai vraiment cru m’en être sorti avec lui et en fait pas du tout. Merci à toute.
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2011/03/08/misogynie-culturelle-et-medicale-le-livre-de-guy-bechtel-les.html
La vulgarisation d’une psychanalyse datée et d’auteurs tels Lacan: caution supplémentaire de la misogynie
A part les soubassements religieux, les diverses formes occidentales de misogynie ont une origine commune et plus récente : ces discours découlent de l’application au psychisme féminin d’une même version vulgarisée des théories freudiennes – et surtout lacaniennes – misogynes et gynophobes. Et ce alors que la psychanalyse internationale a quand même reconnu leur indigence depuis belle lurette. Mais cette version-là, désormais mondialisée, est trop profitable pour le pharmacommerce et le commerce médical comme pour le sentiment de pouvoir des médecins paternalistes ; ses bénéfices secondaires sont trop importants et ne permettent pas la remise en question de cette version au-delà des cercles scientifiques qualifiés (dont manifestement la plupart des médecins ne font pas partie…
Un exemple : l’alliance entre un patriarche de la médecine cherchant à faire école qui encourage un psychanalyste qui voit des sévices sexuels partout
Quant à Lacan, son rapport aux femmes est pour le moins complexe. On pourrait remplir des pages pour le décrire. Et il est très facile pour fuck you!.jpgdes adeptes tels le psychanalyste JML utilisant des méthodes charlatanesques de se réclamer de Lacan pour voir des hystériques partout. Car c’est soi-disant en appliquant Lacan qu’il était question de voir la relation entre les femmes endométriosiques et les chirurgiens comme une « relation entre l’hystérique et son maître » (!)
C’est au nom de la théorie lacanienne que JML a élargi les thèses de Bélaisch: pour lui, toutes les femmes malades ont été violées, et cela concerne quasiment toutes les maladies, y compris celles qui sont communes aux hommes et aux femmes. Cancers compris.
J’hésite à donner son nom, parce qu’il semblerait que ce monsieur, qui est allé jusqu’à inventer des interviews avec lui-même et à parler de lui-même comme d’un « sauveur » (texto), dit que l’indifférence lui est insupportable. Il faut qu’on parle de lui, qu’on se positionne par rapport à ses thèses… Une pathologie qui semble relever du registre narcissique… Alors je préfère ne pas entrer dans son jeu, ne pas lui rendre ce service. Mais répondre par la rigolade à cette obsession de la sexualité des femmes, qui sont ses seules patientes, à croire qu’il aurait du mal à se défaire de quelques archétypes maternels ou autres. C’est une réponse dans le genre de l’image ci-jointe (tirée du site Bulletworm) que méritent de telles fanfaronnades ridicules. Pardon pour la vulgarité, ce n’est pas dans mes habitudes, mais là…
A noter qu’il a été directement encouragé par Bélaisch, qui l’a fait publier, ainsi que par l’association EndoFrance, qui met en scène Bélaisch (et vice-versa) et propage ses spéculations sur une prétendue origine psychique de l’endométriose (viols, abandons et autres sévices), en prenant le risque de provoquer des scissions et des protestations répétées de femmes qui s’estiment (à juste titre) insultées et trahies. La relation de l’association avec Bélaïsch semble résister à tout et valoir toutes les divisions.
Sous la pression de protestations extérieures, et notamment de la campagne mentionnée plus haut à laquelle j’ai très activement participé, notamment en déconstruisant tout le discours soi-disant scientifique, EndoFrance a quand même dû se démarquer des idées de JML. Mais seulement après avoir tenté de nier le contrat ( !) signé avec l’association fondé par ce dernier afin de mieux recruter. Ce contrat, annoncé officiellement dans la Gazette de l’association, consistait entre autres à encourager les femmes souffrant d’endométriose et cherchant soutien sur le forum d’EndoFrance à se confier à JML sur la dimension psychologique de leur souffrance… (Même s’il n’était pas question directement d’établir une causalité avec des viols dans l’enfance). Et ces femmes se voyaient proposer de retrouver des souvenirs de sévices sexuels – thème abordé dès la première séance par JML, selon plusieurs témoignages.
http://forum.doctissimo.fr/sante/Endometriose/revoltant-traumatisme-psychosexuel-sujet_1063_1.htm
Bonjour,
Autant dire tout de suite, je ne pense pas du tout que l’endo ait une cause psy ou alors qu’elle est due à un traumatisme sexuel subi dans l’enfance. (Il y a des femmes qui ont été agressées et ont eu de l’endo plus tard, et je compatis sincèrement, mais ça ne veut pas dire que c’est lié!).
Je mets ce titre pour dénoncer certaines idées soutenues par le Dr B. (malheureusement membre du Comité scientifique d’EndoFrance…), selon lequel on aurait été victimes de viol, d’inceste, d’attouchements ou autres traumatismes liés au sexe, dans l’enfance, bien sûr, ce qui fait qu’on peut ne pas s’en souvenir… On aurait au moins souffert d’abandon.
C’est ce traumatisme qui aurait provoqué des problèmes psychiques qui à leur tour auraient provoqué l’endo…
Ces inepties ont été reprises et développées par un psychanalyste un peu bizarre (qui s’intéresse uniquement aux femmes…). La même assos l’a malheureusement invité à intervenir sur son ancien forum en 2005. le nommé JML affirmait sur le forum qu’il ne voulait pas du tout dire que la CAUSE de l’endo était psy, mais qu’il y avait une dimension psy, etc. (bref, du balabla pour noyer le poisson).
JML s’est servi de la souffrance des femmes et des écrits du Dr B. pour faire un papier qui a inondé le web.
Je vous donne deux extraits, vous verrez qu’il parle bel et bien de la « cause étiologique psychique sexuelle de cette affection »… L’étiologie étant la partie de la médecine qui s’occupe des causes des maladies. JML l’affirme même doublement, par ce pléonasme…
Je crois qu’il faut réagir vigoureusement, parce que nous payons ces inepties (que personne au monde ne soutient), parce que c’est nous qui en payons le prix, et nos filles après nous… Quand on dit qu’on souffre, on nous répond « psy », et pendant ce temps-là, l’endo fleurit!
Voici donc les perles:
« Même si le psychotraumatisme est plutôt habituellement étudié et référé aux accidents collectifs : crashs aériens, accidents de la route ou encore attentats, l’on peut cependant faire l’hypothèse qu’il est pertinent de faire intervenir cette notion, objectivement repérée, dans le domaine des maladies somatiques graves telles que le cancer, les maladies neurologiques dégénératives, les maladies auto-immunes, et…l’endométriose. Et ceci, compte tenu de ce que nous avons énoncé plus haut : la cause étiologique psychique sexuelle de cette affection, repérée par certains praticiens tels que Jean Bélaïsch ou moi-même.
Considérons, alors, ici, que l’endométriose pourrait bien être le nom médico-chirurgical donné à une forme de syndrome post-traumatique, dont l’origine, la cause, l’étiologie dans un cas sur deux, ferait apparaître un psychotraumatisme, la plupart du temps d’ordre sexuel et, surtout, qui n’a pas été, en son temps, parlé, ou suffisamment parlé. (…)
Je terminerai cette introduction à la dimension psychique dans la question de l’endométriose en disant que tous les cas rencontrés, à cette occasion de la cure psychanalytique, au fil de mes nombreuses années de pratique, tous les cas font état d’un psychotraumatisme d’ordre sexuel (survenue catastrophique des première règles, attouchements, viol, inceste…), dans l’enfance ou dans l’adolescence, jusqu’au début de l’âge adulte. Ce sont là les dires des analysantes (patientes). Réalités ou fantasmes ? Réalités et fantasmes ? La psychanalyse a pris pour méthode, depuis Freud, d’accueillir ces dires comme autant d’approches de la difficultueuse question du réel du sexe, à laquelle toute femme est confrontée de par son histoire personnelle et lors de sa constitution en tant que femme. « Construction », « fabrication » qui, on le sait, ne peut se faire que une par une. »
Le grand scandale du jeu de la mort !
La santé pervertie
Quand les psychanalystes justifient la mort
Les psychothérapeutes d’institution aussi
Les psychiatres participants et complices
Le corps en réunion avec l’inconscient
Qui veut prouver que nous sommes tous fous
Tous incluent à la santé humaine un noyau pathogène
Qui tue en silence au goute à goute dans les dispensaires aussi
Psychiatrie qui veut enseigner aux généralistes sur une façon de soigner la dépression.
Monsieur Odier, psychiatre de renom, veut-on mettre la boite de pandore, que vous confondez gravement avec la Mort de la Vie, chez les généralistes ? Vous contestez les DMS avec la psychanalyse, alors que votre dispensaire de Paris 13 veut apprendre aux généralistes comment soigner la dépression avec les DMS ? Il faudrait savoir, monsieur, de quel bord vous êtes ! Mythologue, psychanalyste, psychiatre ?
Vous voyez de nos jours les infos, circulent vite ! Je fais avec le temps réalité moi, je ne mets pas la vie chez les Grecs, avec des mots clairs, compréhensibles à tous. Je n’ai pas raison à tout, parce que je n’ai plus rien à prouver. C’est pourquoi je ne prends pas le temps de soigner mon langage. Nous n’avons plus de temps à perdre.
Monsieur Odier ça fait pour moi deux fois que vous confondez la Vie et Pandore, suite à un travail psychothérapique, puis analytique, pour un médecin ayant prêté serment, 25 ans d’intervalle. Comment veut-on que les naïfs ne se laissent pas avoir par des médecins ? Vous allez me rétorquer, parce que je connais ça aussi, que votre dispensaire à aider à soigner les folies provoquées, bien sûr, c’est pour cela que les gens ne parlent pas ils se trouvent toujours coincés, coupables, de tous les côtés coincés. On fait passer les gens par la mort, puis gentiment après on les soigne après ! Dois-ton soigner les dépressions à l’heure actuelle sur les mêmes principes d’il y a cent ans ? Pourquoi ?
Il est utile de dire, pour ma part aux généralistes comment ça se passe, en psychanalyse et en psychothérapie depuis cent ans. En essayant d’être technique à la fois et simple pour que tous comprennent ! Parce qu’intègres ils sont aveugles sans le savoir et ce sont les seuls qui ne trempent pas dans ce bouillon-là, qu’il faut qu’ils signalent ce qu’ils constatent dans leurs cabinets ! Ça pourrait m’aider et en aider d’autres à l’avenir ! Vous êtes sur le terrain avec l’esprit et le corps bien humain, quand quelqu’un porte atteinte à sa vie alors, demandez-lui pourquoi et s’il a fait une psychothérapie ou une psychanalyse ? J’ai rencontré des généralistes qui soupçonnent, doutent et rejettent la psychanalyse, mais qui ne savent pas encore que les dispensaires travaillent avec la même méthode le freudo-lacanisme. Quand vous envoyer un de vos patients pour une dépression dans un dispensaire de santé mentale, vous devez savoir que pour soigner cette dépression on lui fera voir la mort psychique en entrainant le corps avec. Maintenant ce système est plus que dangereux pour nos enfants, les humains à l’heure actuelle, ne se situant plus du tout par rapport au père, la mère et la religion. Pour deux dépressions j’ai atterri quatre fois dans la mort, parce que je n’avais pas ces références-là. C’est un triste constat et non une guerre haineuse.
Comment rendre une personne saine malade et folle ? Avec un soi-disant noyau pathogène et un refoulement qui n’existe pas !
Un transfert basé sur la confiance, ni amour ni haine, dont le contre-transfert est : ingrate. Peut-être, ne sais pas, je n’ai plus envie de me tracasser avec le contre-transfert, avec en prime, vous n’aimez pas la psychanalyse. C’est parce que je refuse de transmettre ce qui m’a été transmis ! L’art de rendre les autres fous. L’art de la Mort. Avec les hommes. Le problème de fond est là ? Ça n’a rien à voir avec de la transgression, parce que je vous vois venir avec vos gros sabots. C’est une question morale, et je n’ai jamais trouvée où était ma morale ? Non ! Mais je crois encore qu’il y en a une quelque part ! Je ne sais où, comme des petits cailloux semés toute au long de ma route.
Le refoulement n’implique pas de dualité, il permet juste de survivre face aux traumatismes en mettant à la cave et non au grenier pour continuer à vivre, l’inconscient n’est pas primaire et le début de la vie je ne peux et personne ne peux le prouver. Si les hommes sont mes frères, ça ne passe pas par l’image dans le miroir, mais avec la profondeur et la masse du corps. Le travail inconscient doit être limité à ce qu’il est, qu’un inconscient parmi bien d’autres fonctionnements de l’homme. Le ça est improuvable parce qu’il y a mémoire du corps dans l’espace, orienté avant l’inconscient. Arrivé là je me pose la question des psychanalystes et les prématurés parce qu’il y a mémoire à trois mois, mais pas d’inconscient avant ! Alors que j’en vois qui écrivent des bouquins en fantasmant ce que ressent un préma, ah ? Si ! Soigné soi-disant par le langage ah ? Si ! Je me pose des questions !…il faut me comprendre hein…Parce que si à sept mois avec mes images réalité…je n’ai pas d’angoisse…voilà ! À sept mois et un jour, j’ai le dos qui penche et j’ai fait mes recherches d’après l’odeur et non le visage. C’était bien la bonne personne. Il faut toujours se méfier et ne pas toucher à la mémoire des petits, jamais. C’est que voyez-vous l’inconscient n’est pas toute la vie. Non ce n’est pas le corps !
Des agressions sexuelles répétées impliquent la mémoire du corps et de l’esprit, il y a infractions corporelles, du sang et psychiques. Elles ne se situent pas sur un même plan !
Un torturé ne supportera pas qu’on le touche là où il a été torturé, que penser des psys qui maintiennent que le corps n’a pas de mémoire, qui attribue seulement une mémoire à l’esprit ? Quand on peut prouver qu’un malade à qui on a enlevé un membre, soufre parfois de ce membre, non pas parce qu’il est fou, mais parce que son cerveau a enregistré la douleur de celui-ci, constat du terrain quotidien. Qui a l’audace de dire qu’un revenant de Dachau n’a pas de trauma ! Ceux de la guerre 1 plus ! C’est qu’ils n’ont jamais été confrontés dans la vie avec ce genre de personnes, qu’ils ne les ont jamais entendus dans leur sommeil ou ne les ont jamais vus trembler ! On dit beaucoup de choses en psy, elle est partout la psychologie aussi. Ça va du coach pour tout, pour s’habiller, se tenir droit, présentable et je ne sais quoi…je dis à tout ce monde que l’homme ne se nourrit pas de théorie, sans un apprentissage sérieux et un contacte directe avec l’être humain en commençant par le terrain quotidien, avant de vouloir prouver des théories tordues.
D’un autre côté on se trouve avec des psys qui savent tout guérir, qui appose la guérison du cancer, se servent de l’hystérie des femmes pour justifier des pathos des organes sexuels de la femme, qui ne sont pas psychiques. Je suis allée à un séminaire à la Pitié dont un psychanalyste, la salle était comble, qu’il s’était mis au même rang d’un clochard six jours, pour voir et expérimenter ce qu’ils pouvaient ressentir, l’insécurité, la faim… ça se passe à l’heure actuelle, on croit rêver ! Ce psychanalyste ne saura jamais ce que ça fait d’avoir vraiment faim, ce que c’est le froid, celui qui se tord les boyaux durant des jours, c’est une insulte à la misère humaine, car il saura toujours qu’après son expérience il pourra rentrer chez lui, prendre un bon bain chaud, et bien manger. C’est autre chose le mental, la peur et l’angoisse de celui qui sait qu’il n’a que peu de chance de sortir de là, de l’épuisement au fil des années passé dans la rue, des plaies qui s’enveniment par manque de soins et de propreté….Bref ! Les psys deviennent tout et n’importe quoi. Celui qui aura un bon mental, c’est un plus pour un cancéreux, un sidéen, un paraplégique…etc. Mais stop il y a des limites ! S’il voulait faire une expérience, le mieux aurait été qu’il s’occupe de clochards dans les centres où on leur porte secours !
Faire répéter à l’analysant les mêmes traumas de sa vie sous couvert d’une explication de la morbidité inconsciente de l’individu est-ce raisonnable ? Peut-on prétendre soigner les gens avec les médicaments d’il y a cent ans ?
Parce qu’enfin aucun psychanalyste qui m’a entendu, n’a pu m’être utile devant la justice, je dirais même qu’avec Dolto elle n’a fait que conforter la perversité des autres alors que j’aurai pu à cette époque porter plainte, il n’y avait pas prescription ! Que maintenant Madame Schaeffer à l’heure actuelle dit à peu près la même chose ce n’est pas grave pour les femmes, mais ça rend psychotique les hommes… si ! Bien voyons on va bientôt retourner à la défloraison de Freud par le chef du village si ça continue comme ça ! Je signale en passant poète que je suis, que cueillir une fleur, c’est cueillir une fleur, et n’a aucun rapport avec la sexualité. Quand je vais nager à la piscine ce n’est pas pour faire retour à la mère, quand je peins ce n’est pas pour soulager mon angoisse et étaler la merde. L’homme est libre de ses actes sans que ce soit, symbolique ou mal-être. Il y a des idées préconçues qui ont la vie dure sur le terrain quotidien.
Qu’est-ce que le symbolique à l’heure actuelle ? Je ne sais pas, mais ce n’est pas celui d’il y a cent ans !
C’est que perso mes propres cercles de répétitions avaient rangés dans l’inconscient à leur façon, et non pas à la façon analytique. Pourquoi mon inconscient suit une ligne de temps dans les rêves et ne me perturbe pas, un ordre précis ? Jusqu’à l’Œdipe réglé avant que ça dégénère avec l’obsession de Freud et son père. C’est, que voyez-vous, psychanalyste, je pourrais être Œdipe lui-même ayant été élevé par des tiers. Qu’est-ce qui prouve je ne n’aurais pas pu avoir des relations avec un demi-frère dont je ne sais pas les noms, sauf un Ehret ? Et un autre Gödel que j’ai retrouvé sur le papier des archives. Ici il n’y a point de mythe, mais de la réalité de femme. Les autres et il y en a sont inconnus. Je suis en quelque sorte un Œdipe sans le savoir peut-être qui ne connait pas ses parents ? Mais Œdipe n’est pas toute la vie inconsciente. Je trouve maintenant que ça suffit comme ça ! Ça dure depuis cinquante ans ! La vie n’est pas un conte ni un mythe. Les psys jouent tristement avec ma réalité d’être, trop proche de mon vécu ! On ferait mieux de se poser les questions de ce que peut transmettre, mettre au monde une femme qui ne connait pas ses origines, au moins ça, c’est du concret et de bonnes questions ! Qui intéresse l’homme sur cette terre.
Et puis la gageure c’est quand on veut apprendre la séparation à quelqu’un qui a sept mois en a vécu déjà quatre, à neuf ans huit, et les avaient très bien réglées toute seule, différent dans ses cercles de répétition (voir différence et répétition) différente du fort-da de Freud, puisqu’il n’y avait pas père-mère, que ça ne m’a jamais dérangé pour vivre, bref on joue trop avec mon psychisme réalité en le mettant sur l’inconscient détourné pour lui faire avaler père et mère, et religion, pour prouver ses dires et non ma vie, on ne joue pas avec l’inconscient ni la réalité des hommes. Pourquoi un homme devrait détourner son inconscient pour prouver une thèse, la thèse de la réparation, la thèse de la séparation de l’homme ici est un scandale puisque la mémoire est première ces images ne sont pas empreintes d’angoisse à trois mois et que toute ma vie, j’ai fait à ma réalité, sans jamais rejeter les fautes sur papa, maman et dieu, aidée de mon inconscient et non celui d’une norme établit. Comment dévier une mémoire d’homme dans le temps, et la mémoire, mettre au présent le passé ? On ne joue pas avec la mémoire des hommes. À la fin c’est normal que je devienne folle, dans les deux travaux, il y a manipulation morale. Du symbole, de l’imaginaire, de la mémoire, de l’inconscient. Parce que ma façon perso de la séparation ne correspond plus à mes cercles de répétitions. Tout ce qui aura été détourné, fera retour à la fin des travaux dans la mémoire du moi ! Psychothérapeute et psychanalyste le principe est exactement le même ! Alors quand on y a inclus la libido détournée, avec la mort sur la vie, pour prouver un noyau morbide. Qui est taré ? Parler et écouter ont une fonction, c’est bien, détourner en injectant la mort. Est-ce bien ? J’ai refusé, le mois dernier, de prendre une patiente, avec la sclérose en plaques qui avait été élevée par des institutions, j’aurai pu l’écouter pour l’aider dans sa maladie, juste l’écouter à franchir le cap, mais elle rejetait sa maladie sur son enfance et la société, je n’ai pas voulu la prendre, parce que cette théorie est pourrie, et je ne voulais pas l’emmener dans les délires psychanalytiques ! Vu son âge, non, même avec le préconscient, je l’ai renvoyé chez son généraliste qui lui prescrivait des antidépresseurs. Rien que des antidépresseurs et non la panoplie, psychose, psychotique, schizophrène, et autres….
Le noyau qui appuie les thèses des psychiatres, psychologues cliniciens et des psychanalystes depuis cent ans est un vrai scandale !
J’atterrirai quatre fois dans la mort ! Deux pour Freud, Fernand Widal, deux comas au troisième degré et deux boucheries pour Lacan, deux vidages de sang presque total à la Pitié-Salpêtrière. Ici les psychothérapies des CMP sont aussi concernées.
Une fois ça passe ! La deuxième avec Lacan est de trop !
Il faut psychanalystes que ça s’arrête !
Il faut psychothérapeutes sur les bases freudo-lacanienne que ça s’arrête aussi !
Il faut que la pratique des soins et le jeu de la mort s’arrêtent dans la société actuelle.
Le noyau de l’inconscient est-il une cellule biologique, alors qu’il entraine plusieurs systèmes d’organisation humaine ? Qu’il n’est pas premier sur une ligne de Vie !
Le noyau de l’inconscient dans le Moi sans Je est-il concevable ? Donc sans autocritique du Tu qui s’interpelle, entre je et moi, le préconscient étant la fondation et la protection de la vie ! Que Freud dise qu’il faut le laisser à la porte, parce qu’il empêcherait le travail inconscient, peut-être, c’est son jugement, mais seulement mon jugement de vie, me dit dans les rêves que je suis heureuse de vivre tourne au cauchemar sans !
Il n’existe pas de moi sans autrui, donc avec les autres et le monde. L’environnement et l’Histoire psychanalystes et psychothérapeutes. Que vous restiez tous figé sur l’Histoire ancienne c’est votre problème, mais n’entraîner pas nos enfants dans votre bordel !
L’amibe est-elle dévoreuse d’inconscient ?
Non je parais plaisanter… ne croyez pas…. ! C’est exactement ça !
La ligne imaginaire en fin d’analyse, sans corps, qui marque la répétition, a-t-elle une vie biologique et thermo-dynamique ?
Ne croyez pas que je plaisante, non pas !
Dans ce cas, peu probable en toute honnêteté, pourquoi l’inconscient imaginaire, ne fonctionne pas de la même façon, chez l’homme et la femme ? Et je précise n’utilise pas les mêmes parties du cerveau. Une petite question, là, ne détourne-t-on pas l’imaginaire des femmes ? Parce que je me suis aussi demandé pourquoi le chat en poésie est tombé dans l’imaginaire des hommes, et moi maintenant qui me retrouve avec le lapin de Prévert ? Je ne sais pas ce serait à creuser, mais je n’ai pas le temps aujourd’hui.
Bref, continuons le sérieux
De toute façon avec toute la sincérité du monde ces modes de pensées qui se perpétuent, dégradantes pour l’homme, ne font que les remettre au travail de force par culpabilisation, honte, angoisse, en faisant table rase de leur vie passée. Le dressage dans la violence et la mort n’a jamais rien apporté au monde… Stop psychanalystes ! Ici ce n’est pas du masochisme ni du sadisme. Stop psychothérapeutes, la société a grandi elle !
L’inconscient ne tue pas l’être humain, la façon de le travailler l’inconscient si !
Que devient l’inconscient au vidage de la libido avec la pulsion de mort ?
Comment en est-on venu à introduire depuis cent ans la pulsion de mort sur les lignes de vie ?
Que devient l’inconscient quand Freud dit que pour travailler ce même inconscient il faut laisser à la porte le préconscient support de vie qui est autocritique pour mieux travailler l’inconscient ? C’est enlever grandement la protection de la vie humaine et le laisser à la merci de gens tarés !
Pourquoi mon inconscient me dit en rêve et dans la réalité, qu’il est porteur de vie et que j’atterris toujours dans la mort ? Que ce soient psychothérapies ou psychanalyses, maintenant psychiatres, tous prennent comme outil l’inconscient de l’homme en otage, avec les idées d’un seul homme.
Que devient mes quatre images réalités, vérifiées par les vivants, lorsque la psychologie et la neuroscience dit qu’il n’y a pas de mémoire chez l’infant ? Alors qu’il y a une mémoire réalité traduite par des images, de trois, quatre, sept et sept mois un jour ? J’ai dû les vérifier parce que je n’y croyais pas moi-même !
Ces quatre images réalité m’ont dans les deux travaux montrés que l’inconscient n’est pas premier, mais la mémoire de l’homme si, l’inconscient ne fonctionne qu’après parce qu’il ne peut délirer et fantasmer le cerveau n’étant pas assez développé, savoir cela m’a demandé vingt-six ans d’analyse, et deux très longs travaux psychanalytiques Freud et Lacan cent ans de théorie et quatre morts.
Si l’inconscient n’est pas premier comment en est-on venu à justifier un noyau, pathogène ou pas à l’inconscient humain ?
Le moi corps-espace-temps-lumière est premier, c’est déjà un moi humain organisé pas des cellules, le corps n’est pas une cellule,
L’espace est-il une cellule ?
Le temps est- une cellule ?
La lumière est-elle une cellule ?
À l’aide de la religion, la religion est-elle biologique ?
À l’aide de la philosophie de Nietzsche, avec Lacan Engel, la philosophie est-elle biologique ?
Le phantasme de Mélanie Klein est impossible, l’infant ne sait pas faire de montage d’images à trois mois. Donc, fantasmer avant sept mois !
L’inconscient est-il une cellule bio, puisqu’il fait appel à plusieurs systèmes de défense humaine ? Actif donc
D’où vient l’idée que le noyau est morbide
Pourquoi est-il morbide en psychanalyse ?
Pourquoi est-il morbide en psychothérapie, utilisant les systèmes freudo-lacanien ?
Pourquoi dans les deux travaux, Freud et Lacan, me jettent dans la mort ?
Ce qui prend vie est-il morbide ?
Comment on fait d’un noyau sain, deviendrait-il fou ?
L’inconscient d’un enfant n’est pas à toucher parce qu’il est en pleine évolution, il entraine plusieurs systèmes et muri.
Qui a prouvé que le ça était une cellule biologique ?
Pourquoi la psychiatrie refuse de voir, pour justifier la schizophrénie, la paranoïa, la psychose, la névrose, la dépression, sous couvert d’un noyau pathogène, soignant ainsi avec le DMS toutes les pathologies de la même manière, antidépresseur, antipsychotique, anti schizophrénie, correcteurs d’humeur, correcteur des médicaments mêmes du corps qui tremblote….Devant corriger les effets des médicaments eux-mêmes ? Les prises de poids importantes chez de tels patients ! Quel est le rôle commercial des laboratoires qui profite de cet amalgame ? Comment réagissent le système nerveux central et l’hypophyse à la longue de ces traitements ? Pourquoi n’utilise-t-on plus seulement des antidépresseurs dans la dépression ? Quel sera l’évolution humaine avenir avec ce genre de traitements actuels ? Les régulateurs d’humeur : Abylify et autres ne sont pas anodins et le Dépakote pour les schizophrènes non plus ! La Dépakine était réservée dans le temps pour les épileptiques donc une maladie neurologique particulière. On soigne de nos jours la dépression avec la panoplie de toutes les pathologies. Après tout puisque personne n’a démenti le noyau pathogène alors pourquoi pas !
Je me permets de le démentir, je n’ai pas besoin d’avoir l’appartenance de folie, ça pour accepter les malades mentaux avec respect dans mon environnement quotidien.
Je sais que je n’ai jamais pensé que nous sommes tous fous, ni enfant, ni adolescente, ni adulte, ni avec les personnes dont je me suis occupée toute ma vie ni avec les enfants dont je me suis occupée dans mon premier métier.
La psychanalyse dont l’histoire est liée à la psychiatrie n’est-elle pas responsable de cet état ?
En disant que le ça est une cellule programmée biologiquement malsaine elle dit que nos enfants sont tous malades, et conteste après la surveillance dans les crèches et les maternelles.
Je rappelle que c’est une science moderne elle débutait en 55 la psychologie aussi.
Elle critique ce qu’elle a inclus il y a cent ans dans les têtes et à travers le monde depuis cent ans
Quel est le but des psychiatres qui utilisent la psychanalyse vieille de cent ans ?
Peut-on exercer deux professions contraires, une psyché et soma, esprit et médicamenteuse à la fois ?
N’est pas empêcher l’homme d’évoluer en colmatant les défauts d’une pratique qui ne devrait plus exister ?
Si la psychanalyse n’est pas une science comment peut-elle dire que nous avons tous un noyau pathogène ?
Aucune preuve n’a démontré la liaison entre psyché et soma scientifiquement
Est-ce qu’il ne serait pas plus sain que chacun s’occupe de sa spécialité ?
L’organique et la neuroscience vont avec la psychiatrie pas en psychanalyse avec sa pulsion de mort !
La psychologie a-t-elle le droit d’utiliser un noyau pathogène pour justifier certaines désintoxications alcoolique ou de drogues ? Prouvant a plus b qu’elle nourrit ce noyau ?
Parce que cent ans après, j’affirme que le noyau n’est pas pathogène, c’est encore confondre la source du but
Comme le fait Freud avec la libido, bien oui quoi, il faut que cela se sache.
Un noyau ne devient pas pathogène au cours du vieillissement humain ? La vieillesse n’est pas une maladie.
Ne devrait-elle pas la psychologie se tenir à la parole et aux stades de développement humain ?
N’est-ce pas empiéter sur le rôle de l’alcoologue ?
D’où vient ce véritable scandale, du noyau pathologique et du détournement de la libido pour soi-disant le soigner, l’inconscient ne se soigne pas, ne soigne rien, pour son bien dira-t-on, on le fera sans fierté, ni orgueil humain, la queue basse, dans une société qui ne lui convient pas ou plus……….Tous utiliseront l’inconscient, vache à lait de ce dernier siècle, dans le seul but, le remettre au travail social… ! D’où vient cette sacrosainte, Arbeit Kultur qui me rappelle les camps de concentration ?
L’intellectuel grandissant en psychanalyse et en psychologie n’est pas garant de dérives !
Alors que la psychanalyse et un travail inconscient ne guérissent pas la toxicomanie ?
La psychanalyse ne guérit pas la psychose, l’autisme, ni la schizophrénie… etc. Un traitement sérieux suivit par un psychiatre non psychanalyste s’impose en parallèle. Nous ne pouvons qu’écouter ces personnes, mais jamais sans traitement psychiatrique avec, le langage aide, mais ne guérit pas. Le langage ne nait pas avec l’inconscient, puisque ma mémoire me dit n’est pas premier. Il est à la naissance, point avec le corps-espace-temps-lumière, la réalité de la vie et non pas les délires.
Pourquoi dans cette société l’inconscient perverti a pris autant de place dans les soins ?
La psychanalyse ne devrait-elle pas rester à sa place en admettant qu’elle ne guérit pas ? En voulant guérir des névroses, elle rend les gens gravement psychotiques, par un long isolement notamment d’une part, et de sensations d’autre part, odeur, mouvements du corps…, légèreté dans l’espace, tournant des années avec l’angoisse en cercle fermé. Pour enfin ramené à un vide de sens, de la parole et du langage même. Cet isolement, et emprise individuelle est-il néfaste ? Entre temps le temps passe, l’individu se ruine financièrement, les psychanalystes alors justifient leur transfert, et écrivent beaucoup, beaucoup trop et rabâchent de vieilles théories sans rien apporter de nouveau depuis cent ans !
Je ne me considère même pas névrosée, sinon les psychanalystes vont me sauter dessus en disant que c’est le plus difficile à guérir, bien oui, ils justifient tout, les psychanalystes, comme un psychothérapeute le fait aussi ! Ça devient plus que dérangeant quand on sait toujours tout, ne permettant pas à d’autres d’avoir d’autres idées sur la manière d’appréhender la vie !
Pourquoi la psychanalyse serait-elle apte à expliquer tous les pathos, alors qu’elle ne fait que rendre malade mon petit moi, en déviant gravement, ma ligne de vie, mon imaginaire et mon symbolique ? Parce qu’au départ je ne suis pas basée sur le triangle père-mère-religion ?
Dans ce cas, peut-on prétendre guérir dans des pays étrangers, de culture différente, de façon de vivre différente, de conception familiale différente. Puisque la petite Française de rien du tout va embrasser la mort à quatre reprises ? Pourquoi le moule analytique ne s’adapte pas à ma façon d’être. Toutes les personnes qui ne croient pas au triangle, peuvent-elles faire une psychanalyse ?
C’est aussi le cas pour ceux issus de dons de sperme ou d’ovule, les enfants adoptés… ? Qui a dit que quelqu’un qui ne connaissait pas ses origines devenait psychotique ? Non pas !
Le lait psychanalyste n’est-il pas aussi important que l’objet ? L’objet ne nourrit pas le corps.
Pour moi la lumière est celle du soleil, la lumière du jour, qui ne se confond pas avec une religion. Quatre images avant le travail inconscient sont positionnées par rapport au soleil et sa lumière. Ici il n’y a pas de religion.
Pourquoi France culture appose-t-il les religions à côté de la psychanalyse ? Les médias et la psychanalyse !
Pourquoi pour accepter la vie sociétale, avec ses carences de plus en plus grandes, en ce qui concerne les liens affectifs, son pessimiste dans les médias, le commerce remplaçant les satisfactions naturelles et le rapport à la nature presque nul, devrait-on avaler la pilule de l’humeur égale ? Dois-t-on consommer le culturel et les loisirs comme des objets ?
Si ce n’est pas la société qui va mal, c’est que l’individu est inadaptable et malade ? Et hop un petit tour vers l’inconscient particulier pour lui apprendre la façon de marcher de la société, par la honte, la culpabilité, la mort, son inconscient sera détourné.
La vie n’est pas une scène de théâtre où le voyeur et acteur serait à la même place.
Il faut bien de temps en temps recentrer la vie, dans la réalité humaine…non ? Si !
Comment en est-on venu à nommer « noyau pathogène » chez le genre humain ?
Qu’est-ce qu’une dépression suite à un travail analytique ? Celle qui prêche le deuil le symptôme et la mélancolie pour tous avec un noyau pathogène pour tous ? La mélancolie les psychanalystes ne savent pas ce qu’elle implique ! Je pourrai en parler, car j’ai eu des électrochocs et des cures de sommeil, en hôpital non psychiatrique à onze ans, suite à cela, à cette époque existait juste le gardénal et le dihidan. Heureusement qu’aucun psychanalyste et psychologue n’est intervenu dans mon inconscient, merci la psychiatrie ! La mémoire des enfants est d’une précision hors pair, je retrouverai toutes les familles qui m’ont élevé exactement comme ma mémoire l’avait enregistrée. Alors comment peut-on utiliser le mot mélancolie en fin d’analyse, abus de pouvoir des mots ! Je n’ai pas dit maux, car je n’ai pas l’intention de pervertir pour vous servir ma voix.
Où sont ceux qui affirment que la mémoire chez le petit n’est pas assez mûre dans le bas âge, pour conserver les souvenirs ?
Est-ce que les organismes sociaux ont le droit d’utiliser l’inconscient particulier ?
Il ne suffit pas d’inventer de nouveaux mots, comme le font les psychiatres-psychanalystes de l’école psychanalyse et médecine de la Pitié Salpêtrière…justifiant avec l’inconscient des théories corporelles ! Ça fait froid dans le dos quand même de voir des psychiatres délirer dans l’hospitalier !
Comment se fait-il que j’y retrouve mon psychanalyste lacanien, qui m’a interdit tout traitement médicamenteux pour travailler l’inconscient ?
Comment en arrive-t-on à penser un terrain fragile donné à ce qui est provoqué ? Omettre de différencier la cause du but ?
Ne faut-il pas un certain temps pour se désintoxiquer de la psychanalyse même ?
La cause d’une dépression due à un travail inconscient et la décompensation qui s’en suivent n’a rien à voir avec le noyau pathogène que l’on voudrait inné qui plus est pour tous !
La psychanalyse peut-elle s’apparenter à une drogue de l’esprit ?
Combien de temps met-on à se désintoxiquer?
La psychothérapie, la psychanalyse ne sont rien d’autre, en utilisant toute la panoplie culturelle, que de provoquer chez l’homme un électro-choc psychique entraînant le corps avec ! Et n’oublions pas que ceci ne concerne qu’une partie de la population, les pervers n’étant pas manipulables inconsciemment. J’en conclus que nous ne possédons depuis cent ans, que l’étude de l’inconscient d’une partie de la population. Nos théories sont donc incomplètes, sont loin de représenter la majorité humaine. Mais une chose est certaine c’est que les naïfs, sont en danger avec de mauvais psychanalystes et psychothérapeutes. Simplement parce que ce sont des personnes naturellement curieuses qui se remettent en cause alors qu’un pervers ne le fera jamais !
Qui a dit que l’humanité entière était pervertie ou folle ? N’est-ce pas pour englober les malades mentaux avec une fausse humilité sur le terrain quotidien ? N’est-ce pas la peur de l’extermination des malades mentaux à la dernière guerre mondiale, qui fait que maintenant on se veut tous fous cellulairement ? Un drôle de retournement, non ?
Pourquoi les vrais pervers on ne les voit jamais en psychanalyse, ni en soins psychologiques sauf si un tribunal l’a ordonné, la psychanalyse ne soigne pas la perversité, ni un pédophile, puisqu’elle n’arrive même pas à s’occuper de la norme sans l’envoyer dans le décor ! Le pervers utilise en acte ses fantasmes, la psychothérapie et la psychanalyse confortent cet état dans la santé mentale actuelle en faisant passer à l’acte des fantasmes, c’est loin d’être pareil !
Pourquoi la psychanalyse ne veut pas évoluer, ni revoir sa façon de penser l’inconscient, on la situe à tous les organismes sociaux, médicaux, culturels, médiatiques, politiques, artistiques, littéraires, alors qu’elle n’est pas foutue d’entendre mon symbolique et mon imaginaire à l’heure actuelle. Vouloir tout interpréter est-il une bonne chose ? On en est encore de manière théorique à Freud, et à ma première psychanalyse de 74 !
Des psychoses dans certains pays passent inaperçues par ce que c’est leur façon d’être et de vivre ! Notamment dans certains pays d’Afrique. Le délire que l’on dit de paranoïa, nous européens, de certaines autres civilisations est à accepter et à ne pas modifier, c’est une partie intègre de leur culture, et non à inclure, l’inclusion uni formalise les êtres et leurs façons de vivre et de penser la vie.
Alors, pourquoi vouloir étiqueter toutes les pathologies sur la même enseigne ? Les maladies à la norme Européenne à l’heure où nous partageons plusieurs formes de cultures différentes, ne serait-ce que pour les migrants ! J’aime la différence, ceux qui ont une double culture doivent pouvoir composer avec ! Ce sont des liens riches de compréhension et d’enseignement. Peut-on et a-t-on le droit d’embarquer tout le monde dans des formes de soins uniques ? Il ne faut pas intervenir sur leur culture ni leur inconscient, et ne pas interpréter à notre façon.
Les femmes exerçant la psychanalyse sont-elles perverses ?
Ne nient-elles pas justement leur féminité au détriment du phallus imaginaire ? Le trou de la femme il y en a marre, il y a une jouissance vaginale ! Avant les psychanalyses j’ai toujours été heureuse d’être une petite fille, je ne vois pas où est le problème pourquoi je changerais ! Pourquoi les femmes devraient se masculiniser ? Pourquoi les femmes sont-elles considérées encore comme masochistes et passives ? Êtes-vous si sûre que l’enfant soit un enfant pour le père, un petit phallus…ça suffit, j’en ai marre !
Une théorie qui se base sur la mère mortifère n’est-elle pas nocive, la psychanalyse n’a-t-elle pas été créée pour et par les hommes ? Refuser d’évoluer, c’est une théorie psychotique qui n’a plus d’avenir, il n’y a plus rien de censé à transmettre !
Avoir un enfant n’est pas faire un livre, avoir un enfant implique le corps, et sa transformation ne serait-ce qu’hormonale, physique et psychique, l’imaginaire n’est pas forcément de donner un enfant au père ! Pour qui l’enfant est-il un phallus ? Une femme enceinte n’est pas une machine inconsciente. L’encre avec laquelle on écrit n’est pas du sang, non pas messieurs. Je lis ça parce que j’entends beaucoup de poètes masculins, qui accouchent d’un bouquin, avec cette vision-là ? Il y en a même un qui situait son bouquin à sept mois de grossesse. Ah ?… Si… ! Quand je fais un bouquin, ce n’est pas un enfant…on joue beaucoup trop avec les mots… de nos jours !
Que dire d’un certain psychanalyste qui parle de la haine des femmes pour la vie, quand elles avortent, avec des mots tout à fait gentils, il vend beaucoup, disant aux gens ce qu’ils veulent entendre. Le droit de la femme ici où est-il ? Comment peut-on se dire psychanalyste et coller gentiment la haine sur les femmes qui avortent, souvent d’ailleurs accompagnée des hommes, et transmet sans le vouloir la haine des femmes pour la vie sans toucher l’homme qui l’accompagne ? Nous ne sommes pas chez les grecs, la femme prostituée qui plait tant à certains. La haine de la vie des femmes, les femmes tueuses, j’en ai marre, monsieur, même quand c’est dit sous des airs flatteurs parmi bien d’autres choses.
Qu’est-ce que la haine, ici et maintenant !
La psychanalyse, ne peut-elle arrêter de culpabiliser tout le temps !
Le noyau, ah le noyau ! Il faut en parler sérieusement parce qu’on le trimbale depuis cent ans et qu’il fonctionne dans l’esprit des gens sans s’en rendre compte…eh oui ! Depuis cent ans, parce qu’un homme a décidé de voir l’humain comme ça ! Qu’il a décidé à lui seul, que le ça et le noyau était comme de cette façon programmé, mais qu’en est-il en réalité de ce noyau que nous disons tous pathogène et qu’est-ce que le refoulement ?
Expliquons :
Une véritable pollution mentale s’est développée à partir des métaphores dynamiques, énergétiques et thermo-dynamiques… Un curieux consensus s’est fait depuis plusieurs décennies de l’histoire psychanalytique pour passer sous la table cette problématique énergétique ; il ne date pas d’ailleurs de la naissance des structuralismes en psychanalyse, mais remonte à l’époque de Freud. Cependant des axiomes énergétiques demeurent implantés dans la façon de poser la problématique de l’inconscient, mais on les a « forclos » et ils sont tout à fait repérables.
La forclusion du père n’est-elle pas une gageure analytique ?
Cela reste une conception fondée sur des notions de conflits psychiques, avec un puiaxiomatique implicite où l’on a cette idée de représentations réprimées – dans le cas des affects, plus spécifiquement, inhibés – et l’on garde toujours comme définition implicite de l’inconscient que c’est le lieu du refoulé. La théorie du refoulement – que je sache – n’a été récusée par aucune des ré-écritures de la psychanalyse
Pour s’arrêter déjà à cette notion de refoulement, il faut voir que les deux conceptions freudiennes
– Celle qui constitue le refoulement comme portant sur des représentations de l’inconscient (première topique), ou celle qui le recentre sur les défenses du moi – aboutissent, sans doute, à remanier la description dynamique et les métaphores thermo-dynamiques de l’économie freudienne, mais ne remettent pas en question ces postulats énergétiques de base.
Dans la première topique est cette idée qu’il existe un noyau pathogène de représentations exclues de la conscience qui se comporte comme un noyau développant un champ magnétique négatif
– Un noyau refoulé, une fixation, un noyau de représentations qui repousse toute intrusion d’un processus quelconque de remémoration. On peut donc s’approcher de ce noyau par couches concentriques, mais plus on s’en approche et plus il y a une puissance de rejet. Les tentatives de levée de ce refoulement (qui, suivant les époques, procédaient par suggestion, puis par technique d’interprétation) marchent toujours dans ce sens : pour pouvoir faire la levée du refoulement
– l’atteinte de ce noyau – il convient de procéder par l’analyse des résistances, par leur interprétation ou l’interprétation du transfert qui sont, en quelque sorte, la résistance. Dans la deuxième topique, ce noyau a toujours la même puissance de refus, d’éjection, mais il ne fonctionne plus du tout de la même manière. Au lieu que ce soit un noyau négatif, cela devient un noyau positif, un noyau d’attraction : le noyau pathogène issu du refoulement originaire attire à lui, au contraire, les représentations et a toujours tendance à les réexpédier dans les systèmes.
Ultérieurement, la problématique du moi, des identifications (représentation beaucoup plus anthropomorphique de l’inconscient et beaucoup moins dynamique), l’entrée sur scène des personnages de l’inconscient, la familiarisation, la personnologisation semblent, en effet, mettre au conscients et préconscients. Par contre, ce qui devient, c’est le moi : voilà donc toute la problématique des défenses du moi. On a inversé les vecteurs, mais en gardant cette même problématique énergétique vectorisée : ce noyau envoie des rejetons, des symptômes, il intervient au sein des rêves, des actes manqués, etc.
On a alors un double système d’interaction et pas du tout un système simple Ultérieurement, la problématique du moi, des identifications (représentation beaucoup plus anthropomorphique de l’inconscient et beaucoup moins dynamique), l’entrée sur scène des personnages de l’inconscient, la familiarisation, la personnologisation semblent, en effet, mettre au second plan cette problématique énergétique. Reprenons la conception de la pulsion de Freud. Je rappelle ici ses quatre dimensions :
— la poussée qui était vraiment la charge énergétique (avec l’ambigüité totale de savoir si c’était l’équivalent d’une charge instinctuelle…), charge instinctuelle sexuelle, poussée de nature biologique, libido…
— la source, organique là aussi, mais représentant certains types de territoires corporels, etc.
— les objets qui deviennent ensuite la problématique des objets partiels.
— les buts.
Progressivement la poussée, la source, le but sont laissés entre parenthèses, mis à l’écart : oui, c’est biologique, oui il y a des sources organiques, d’accord, mais ce n’est pas cela qui compte !
Ce qui compte, c’est que la pulsion envoie des délégués dans l’ordre de la représentation. Quant à cet aspect de dynamique biologique, finalement on fait l’impasse là-dessus. Pour le reste, différents accents seront mis selon les courants : dans la tradition « classique » en France, en particulier chez Lagache, c’est le but qui importe et il se trouve transformé en relation ; la psychanalyse devient, en quelque sorte, une psychologie de la relation. Ce qui compte ce sont les inter-relations. Et chez Lagache sont même mises en question la notion de stade et la notion de maturation psychogénétique.
Par contre, chez Lacan c’est la notion d’objet qui devient prévalente, avec une problématique de l’objet totalement différente du courant anglo-saxon. Mais là aussi nous allons voir que toutes les notions héritées de cette conception énergéticienne biologique sont mises entre parenthèses et quasiment récusées de façon explicite. Chez Freud lui-même, si on y réfléchit bien, la notion de pulsion est totalement transformée avec l’introduction de la pulsion de mort. Il n’y a plus du tout l’idée de conflit pulsionnel pris sur des principes de plaisir et des principes de réalité, mais, à la notion de pulsion – d’opposition dynamique, de tension, de conflit – se substitue la notion de mélange : la pulsion devient un mélange de deux pulsions – pulsion d’Éros et pulsion de mort qui, selon qu’elles sont intriquées ou désintriquées, mélangées ou non d’une certaine façon, vont faire basculer l’économie libidinale dans un sens ou dans un autre. Je vous ferai remarquer que, d’un point de vue strictement métaphysique, la notion de mélange n’a rien à voir avec une notion de tension dynamique
Revenons à quelques formulations de Lacan sur la pulsion. Je les ai prises uniquement dans Les Écrits, car je crois que ces textes sont suffisamment clairs – du moins pour l’objet que je me propose aujourd’hui. Quand il parle de la pulsion, Lacan met en question aussi bien la pulsion que la libido, que le ça. Il dit que la pulsion est comme « un couteau de Jeannot, aux pièces indéfiniment échangeables » ; il parle de « métamorphisme », d’interventions possibles entre « l’organe » de la pulsion, « la direction » de la pulsion et son « objet » page 147.
Ailleurs, il dit qu’il y a une réversion possible de « son articulation à la source comme à l’objet» page 817, ce qui est très important, car cela implique bien quelque part que l’on a plus la coupure source pulsionnelle biologique (énergie biologique) et représentation au niveau de l’objet. Il dit aussi qu’au fond la pulsion dans le système freudien est uniquement un système d’équivalences énergétiques où l’on réfère les échanges psychiques. Là il part de cette position : c’est un système d’équivalence et rien d’autre, qu’il ne faut jamais prendre en tant que tel au niveau de poussée énergétique, mais uniquement en tant que système d’équivalence (et non pas de support) pour avoir une capacité de comparaison, d’appréciation économique de ce qui se passe au niveau de la représentation – du représentant de la représentation de la pulsion, c’est-à-dire au niveau psychique
On peut dire alors : s’il y a un équivalent, au moins la pulsion sert à quelque chose ! Cet équivalent c’est la libido, définie par ailleurs par Freud comme énergie pulsionnelle. Elle avait donc des caractéristiques de la pulsion, mais était définie essentiellement comme pulsion sexuelle. Dans le système freudien il y a des pulsions et il refuse toujours une universalité de la pulsion – se démarquant en cela de Jung, etc. Une pulsion particulière est celle qui joue un rôle majeur dans l’inconscient : la pulsion sexuelle et c’est ce qui fait la différence entre le concept de libido et le concept de pulsion. Puis cette libido est prise dans une différenciation libido du moi, libido d’objet, etc. Il y a donc la qualification suivante : la libido est sexuelle, puis elle donne des rapports d’équivalence, des rapports économiques entre les investissements qui se portent sur les objets, et ultérieurement on retraduira cette problématique en termes d’Éros et de pulsion de mort.
L’abord de Lacan veut en apparence cautionner les formules freudiennes, puisque toute sa vie il a prétendu être fidèle à la lettre même du texte de Freud. Mais dès les Écrits, il dit ceci : la libido n’est pas l’instinct sexuel… D’accord puisqu’il y a cette critique de l’instinct déjà au niveau de Freud. Mais voici qu’il fait une curieuse opération en disant : sa réduction à la limite au désir mâle indiquée par Freud suffirait à nous en avertir. On peut peut-être comprendre cela ainsi : s’il n’y a qu’une libido mâle, c’est donc qu’elle n’a rien à voir avec la différence des sexes.
Admettons ! Mais ce qui compte, c’est la suite : « la libido dans Freud est une énergie susceptible d’une quantimétrie, d’autant plus aisée à introduire – en théorie – qu’elle est inutile, puisque seuls y sont reconnus certains quanta de constance ». Vous comprendrez au passage pourquoi m’intéresse beaucoup cette idée de quanta de constance. Cela nous amène en effet dans la problématique qui pour moi est celle des machines abstraites à un certain type non pas de quantification, mais de consistance. Cette expression, quanta de constance, est précisément ce à quoi je voudrais substituer la notion de consistance qui fera basculer tout le système. Lacan ajoute alors : « sa couleur sexuelle si fortement maintenue par Freud comme au plus intime de sa nature est couleur de vide, suspendu à la lumière d’une béance »… C’est beau, mais disons que c’est un vidage sémantique total de la notion de libido.
Le ça dans la deuxième topique est à la fois le réservoir de la libido au point de vue quantitatif et du point de vue topique c’est le pôle des pulsions par rapport auquel se fera la différenciation du moi, du surmoi, etc. Lacan est très gêné aussi avec cette notion parce que, évidemment, pour avancer dans sa redéfinition de la pulsion il faut qu’il prenne – comme il dit – « de plein fouet » page 657, les paradoxes de la définition freudienne. Or, voici trois caractéristiques de la définition freudienne
— Le ça est inorganisé, c’est un chaos. Oui, Lacan est d’accord : en même temps c’est inorganisé, mais ça reçoit, attire le refoulé originaire, donc c’est très structuré quelque part. Les noyaux du refoulé, les fixations sont dans le ça et, en outre, les automatismes de répétition. Et quelle partie du ça ?
— le ça ne connait pas la négation. Et Lacan écrit : « il n’y a pas de contradiction qui vaille entre les pulsions » page 658. C’est parfait, seulement : c’est le lieu où il y a l’intrication entre l’Éros et la pulsion de mort
— Faire tenir tout cela ensemble est effectivement difficile ! Mais qu’à cela ne tienne, Lacan dit : il n’y a que le signifiant qui permette de faire tenir ensemble ce type de paradoxe. Pourquoi : parce que le signifiant, dit-il, qu’on le prenne comme on veut d’ailleurs, au niveau de la matérialité de sa structure (= le signifiant saussurien), qu’on le prenne comme jeu de Loto (page 658), il n’y a que cela qui puisse supporter de telles contradictions. Lacan a, à ce propos, une formule assez obscure : « … et l’évidence apparaîtra qu’il n’y a au monde que le signifiant à pouvoir supporter une coexistence – que le désordre constitue (dans la synchronie) – d’éléments où subsiste l’ordre le plus indestructible à se déployer (dans la diachronie) ».
Synchroniquement donc des agrégats de chaînes complexes sont pris dans les systèmes de contradiction concernant l’organisation, l’inorganisation et les contradictions pulsionnelles ; il n’y aurait alors que le signifiant qui pourrait faire cette double politique de signifiance et d’a-signifiance. Là, c’est moi qui traduis.
Et Lacan écrit cette phrase en toutes lettres : aussi laisserons-nous maintenant ce que l’on croit, elle n’a rien à voir avec l’instinct, mais le ça est « un réservoir oui, dit-il, si l’on veut, voilà ce qu’est le ça, et même une réserve. Mais ce qui s’y produit, de prière ou de dénonciations missives, y vient du dehors, et s’il s’y amasse c’est pour y dormir »(page 658).
Prenant la comparaison avec les lettres que l’on mettait à Venise pour dénoncer les gens de la Cité, il dit que le ça est un réservoir dans lequel on met des lettres. Mais son propos va beaucoup plus loin qu’une métaphore : en effet, le ça et les pulsions ne sont devenus rien d’autre que le trésor des signifiants.
Dans ses mathèmes, la pulsion c’est : le sujet s’évanouit dans la demande : « Que la demande disparaisse aussi, cela va de soi, à ceci près qu’il reste la coupure, car celle-ci reste présente dans ce qui distingue la pulsion de la fonction organique qu’elle habite : à savoir son artifice grammatical… ». C’est une formulation curieuse parce qu’un peu malheureuse du point de vue même de la théorie du signifiant, mais, en tous cas, elle dit bien ce qu’elle veut dire.
Nous sommes donc passés d’une définition de la pulsion (et donc de la libido et du ça) avec ses quatre dimensions (la source, la poussée, l’objet et le but) au fait que – purement et simplement – le signifiant c’est la pulsion, la pulsion c’est le signifiant. C’est du moins ce qui reste de toute cette économie de la demande, ce qui reste de la déhiscence organique et de toutes les images qui partent depuis la famille jusqu’à la fin : essentiellement du signifiant. Mais alors ? S’il faut éjecter toute notion de dynamique, de thermo-dynamique, de conflit, alors comment peut-on encore parler de répression, de refoulement ?
Comment peut-on encore parler de conflit psychique, de transfert, de contre-transfert ?
Cela veut-il dire qu’on fout tout ça en l’air et que l’on est plus que dans… une économie du signifiant.
Mais qu’est-ce que cela veut dire une économie du signifiant ? Ou une économie libidinale – terme cher à Lyotard ?
Qu’est-ce qu’une économie ?
Cela veut-il dire que les signifiants véhiculent vraiment de l’énergie ?
Où est-ce une simple métaphore ?
Cette histoire est très ambiguë : a-t-on besoin d’un concept quelconque d’énergie pour rendre compte de l’inconscient ?
Si l’inconscient est structuré comme des mathèmes, y a-t-il besoin de l’énergie ?
De l’énergie passe-t-elle entre des mathèmes ? Entre des signifiants ? C’est une vraie question.
Y a-t-il besoin d’un équivalent quelconque énergétique entre un signifiant inconscient, entre des mathèmes marquant les différentes instances en question ?
Quant à moi, je réponds tout de suite : oui ! Non seulement il n’y a pas à avoir de pudeur d’économie sur la poussée, le but, la source et l’objet : oui, il y a de l’énergie dans l’inconscient parfaitement ! – ce qui ne veut pas dire qu’il y en ait dans le signifiant parce que l’inconscient ne s’identifie pas au signifiant. La question est justement de reformuler non pas une théorie de l’énergie, mais si possible N théories énergétiques, c’est-à-dire N modes de fonctionnement énergétiques pour rendre compte à la fois de là où il y a effectivement de l’énergie dans les processus inconscients et de là où il n’y en a pas.
Le concept d’énergie est un concept d’équivalence en physique qui traverse aussi bien la physique des particules que la physique atomique, la chimie, la thermo-dynamique, etc. Ce concept s’institue sur la base d’un fonctionnement régional de l’énergie : l’énergie électrique et l’énergie calorifique, par exemple, ce n’est pas du tout la même chose. Il y a effectivement des équivalences (principe de Carnot, etc.), mais l’utilisation de l’énergie chimique ou de l’énergie électrique, c’est très différent de l’énergie atomique ! Tout le monde sait cela – ne seraient-ce que les gens qui reçoivent des bombes atomiques ! Ce n’est pas parce qu’il y a des équivalences – et il y en a effectivement
– Et que l’on passe de l’une à l’autre que c’est la même chose, cela ne s’exprime pas sur les mêmes terrains : le terrain des particules n’est pas le même que celui des atomes ou que celui des échanges énergétiques biologiques (la chimie à 37°). Il y a des machines concrètes à petites énergies : par exemple les énergies circulant dans une machine informatique sont de toutes petites énergies par rapport à ce qui circule dans une machine à vapeur. Il n’empêche qu’il y a une loi d’équivalence générale énergétique : on peut toujours, en effet, des machines concrètes, c’est très différent. Je pense donc qu’au niveau de la diversification des composantes de l’inconscient, nous avons intérêt à ne jamais parler d’énergie « en général » (type libido ou autre), mais à respécifier quel type d’énergie – s’il y a une problématique énergétique qui se passe – travaille dans tel type de région de machine concrète ; quitte à en inventer de spécifiques, car il est possible que l’on trouve utile dans une cartographie de dire : dans un groupe particulier c’est tel type d’énergie qui fonctionne, dans un système éthologique, tel autre, etc.
On a toute liberté d’inventer autant d’énergies que l’on veut. Il n’y a pas de religion de l’Énergie avec un E majuscule ! Il n’y en avait pas plus pour Einstein que pour Newton qui ont bel et bien inventé leur cartographie d’énergie quand ils en ont eu besoin. Il nous faut faire la même chose, je crois, mais dans l’autre sens précisément : retrouver les concepts d’énergie tels qu’ils sont manipulés chez les Bororo, les psychotiques, etc. pour pouvoir comprendre ce que sont les composantes de passage et les phénomènes d’équivalence.
Venons-en aux schémas : l’inconscient rentre dans un plan de consistance ; ces deux domaines ne représentent pas des coupures, mais des zones de passage, puisqu’il s’agit du même plan. Il y aura donc des zones de passage au niveau de l’intensité entre :
— d’un côté, le domaine des consistances énergétiques. Il ne s’agit pas de consistance universelle, mais de zones de consistance énergétique : parfois ça passé, ça pousse un peu, et puis non, ça ne sert à rien, ça oscille, et parfois ça passe – transformant une énergie en une autre.
— et de l’autre, des zones de consistance incorporelle.
Au fond, Freud a parfaitement vu la nécessité de faire tenir ensemble ces deux domaines même si c’est, en effet, « un paradoxe de plein fouet ». Il voit les pulsions, mais il voit bien précisément quand il traite une hystérique ou un phobique :
— des problèmes d’investissement de zones érogènes, de fixations libidinales.
— et puis aussi des représentations qui sont totalement incorporelles, des fantasmes où manifestement il n’y a pas une dose d’énergie correspondante à cette inscription mnésique pour déclencher pareils automatismes de répétition, etc. Donc : représentation, représentant de la pulsion, et il fait tenir tout cela ensemble.
Seulement, toute l’histoire du Freudisme et de la psychanalyse jusqu’au structuralisme contemporain, c’est d’effacer ce scandale – que Freud ait eu la folie au départ de faire cette affirmation paradoxale ! En tous cas, un montage s’est imposé : éliminer purement et simplement ce domaine des consistances énergétiques, c’est-à-dire éliminer toute problématique du corps, du socius, du rapport de forces économiques – toute problématique des machines concrètes.
— Mais oui, tout cela existe bien sûr, mais ce n’est pas de l’inconscient !
— Si ! Justement c’est aussi l’inconscient.
— Alors si c’est ceci l’inconscient, ce ne peut pas être cela !
— Mais si ! C’est les deux.
— Et c’est les deux alternativement, successivement, pendant, après ? Voilà justement la question : comment va s’incarner ce rapport entre les deux domaines ?
Considérons ce domaine des intensités, des consistances. Nous l’avons divisé en deux.
Maintenant, voyons ce qui se déploie dans cette surface :
— D’abord, une problématique de la déterritorialisation partant (à la base du schéma) d’un axe de persistance – répétition vide, répétition pure… – pour arriver à un axe de transistance qui sera, lui, totalement déterritorialisé.
— Puis, une ligne mobile : la ligne d’actualisation hylémorphique. Elle peut partir de la base du schéma et c’est la pulsion de mort, la limite du Fort-Da freudo-lacanien, c’est la répétition vide, le trait unaire lacanien ; s’incarner ensuite dans le triangle syntagmatique existentiel, qui se différenciera.
— quand la ligne remonte, elle fait cette actualisation hylémorphique, c’est-à-dire qu’elle remonte comme ligne qui – du côté des consistances énergétiques – traite les choses à partir de machines concrètes, et du côté des incorporels, de ce que j’appelle des idéalités.
La ligne hylémorphique est la ligne d’incarnation des formes – formes concrètes et non pas platoniciennes, mais formes qui fonctionnent et que l’on trouve, par exemple, dans les définitions génétiques de telle formule de vie, de telle mutation, de telle spéciation.
Quand cette ligne remonte totalement, il y a effectivement à ce moment-là passage total entre les consistances incorporelles les plus différenciées – les univers – et, sur le plan des consistances énergétiques, les phylums et l’ensemble du système : c’est-à-dire qu’il y a de nouvelles constellations d’univers, et… problématique du possible loin de l’équilibre.
Quand cette ligne redescend, des stratifications intermédiaires, des métabolismes coupent la problématique des consistances incorporelles et la problématique des consistances énergétiques – ce qui ne veut pas dire qu’elle les coupe totalement, mais elle négocie à travers les systèmes des triangles.
Là-haut, plus de négociation, passage total. En bas, impasse totale parce qu’il n’y a rien ; il n’y a rien qui discute avec rien : ils ne se racontent pas grand’chose !
Tandis que dans la situation intermédiaire, on est dans un seuil ou dans un autre, cela pulse d’un côté ou de l’autre.
Dans ce système en mouvement la problématique de la syntagmatique existentielle prend des flux énergétiques de toute nature pour en faire de la matière signalétique (et c’est toujours de la matière : flux d’encre, flux d’électricité…) et pour en faire des boucles sémiotiques. Et là on est déjà dans les incorporels. Cela commence avec le trait unaire, avec la quantité d’information minimum.
Voilà : c’est cela que ça fait et rien d’autre. Et quand ça ne fait rien d’autre, encore une fois ça ne dit pas grand’chose et c’est la pulsion de mort, l’affaissement total. Cette foutue théorie de l’information – pour autant qu’elle hante toutes les sciences humaines – les hante comme la mort quelque part hante l’ensemble de nos sociétés.
Il y a donc fabrication de ce que l’on peut appeler – hommage à notre maître à tous et à toutes, Jacques Lacan le trait unaire. Que se passe-t-il donc quand il se prend dans un noyau d’agencement ? Il fonctionne alors de ce côté, de l’autre ou des deux côtés et le problème ne se pose plus.
Quand il fonctionne de ce côté, il fait du signifiant et amorce un triangle sémiotique
Ce qui se passe en réalité renvoie au noyau d’agencement. Pour reprendre Chomsky, ce serait la structure profonde. Et ce qu’on voit, ce sont des machines concrètes et des idéalités (il faut être complètement myope pour ne pas les voir, ces idéalités concrètes, abstraites, il y en a de toutes sortes : la musique, les mathématiques, les nations…).
Nous avons donc la syntagmatisation, la fabrication d’une matière-signe, mais qui ne dit rien. Le territoire minimum (« Fort-Da »…« c’est moi ! »… « Ho ! Je suis là »), c’est le primat du rapport de syntagmatique existentielle sur toutes définitions. On en a bien la représentation chez Sartre : quelque part l’autre ne se déduit pas des représentations, ne se calcule pas à partir des coordonnées spatio-temporelles, il y a un donné de l’autre minimal. Ce territoire minimum s’articule à des concaténations de signes, à des redondances sémantiques qui font des résonances signifiantes au fur et à mesure qu’elles se constituent en idéalités et c’est donc ce que j’appelle : le triangle sémiologique, à partir d’un curseur paradigmatique, c’est-à-dire ce qui fait monter plus ou moins la ligne hylémorphique – cela pouvant s’abattre sur ce qui semble une pulsion de mort irréductible, et puis il suffit de réintroduire telle ou telle boucle paradigmatique pour que d’autres objets soient accrochés.
Si vous voulez, c’est comme ce qui apparaît dans la sémantique générative : vous avez une boucle sémantique et puis une autre et puis, d’une boucle à une autre, apparaît un autre niveau sémantique.
Pour prendre une comparaison, c’est comme si l’on disait : il y a une scène, mais sur la scène on parle, on chante, il y a de la musique, ça fait de l’opéra ; et à chaque fois se développe ainsi un nouveau type d’idéalité, un nouvel univers potentiel, une constellation d’univers.
Il y a donc un curseur – avec aussi possibilité d’affaissement. De l’autre côté, ce même fonctionnement peut se faire au niveau cette fois des consistances énergétiques comme triangle des machines concrètes : cette fois, les signes ne font pas des boucles et des redondances de signification, ne développent pas une économie paradigmatique, mais une économie praxique ; c’est donc le triangle des machines concrètes avec ce que j’appelle : la ligne des tenseurs processuels. Des signes sont en acte cette fois même si par ailleurs ils sont dans la signification. Par exemple, madame Thatcher dans la télévision tient des discours… aucune importance. Et puis à un moment, ses discours font pleuvoir des bombes sur les bateaux argentins. Ce n’était pas évident ! Pendant un temps on pouvait se dire : cela a de la consistance pour les médias… mais résultat zéro. Et à un moment il y a eu prise de consistance au niveau des machines concrètes, rendant toutes les possibilités envisageables. Que ce ne soit que de la redondance sémiotique, représentation, pur discours, ça tombe. Que ce ne soit pas du tout de la redondance, mais que ça fasse directement des bombes sans qu’elle en parle, c’est une autre éventualité, c’est ce qu’Hitler faisait, lui : il commençait par bombarder, il discutait après ; il commençait par occuper, après il faisait un discours. Ou bien autre éventualité, les deux en même temps : phénomène de seuil, les redondances qui ne sont, n’attrapent, ne produisent que des incorporels, d’un seul coup agissent dans le système.
C’est exactement comme le « sésame ouvre-toi », mais au niveau presque informatique : tu cherches la formule pour ouvrir le coffre, tu ne l’as pas, tu es donc dans ces redondances-là, et puis à un moment…
Le triangle diagrammatique. Des propositions machiniques fonctionnent sur un versant comme des consistances axiomatiques (mais au sens large, non pas seulement l’axiomatique mathématique, mais la consistance d’une écriture musicale, d’une écriture économique, toujours dans cette partie du schéma de l’économique des incorporels). Une consistance axiomatique est donc nécessaire pour qu’il y ait ce passage-là ; et sur l’autre versant une consistance machinique ; car tu peux très bien avoir les propositions machiniques, les énoncés et que ça ne passe pas. À la limite, c’est la consistance même du système, la consistance du matériau qui est en jeu : tout devrait marcher, mais le système ne rentre pas dans la ligne hylémorphique.
Le court-circuit diagrammatique se passe partiellement quand la ligne hylémorphique est à ce niveau. Et quand elle est là, de véritables mutations se font, les machines concrètes touchent quelque chose du, sortent d’elles-mêmes comme machines concrètes pour se trouver un futur, rentrer dans le rhizome des machines concrètes ; et ce qui n’éta